A/L
Voici la présentation de l’épreuve qu’offrait le rapport de 2018 :
— brève présentation de l’extrait indiquant son rôle dans l’économie générale de l’œuvre ;
— lecture de l’extrait ;
— introduction
• rendant compte, avec toute la souplesse requise, du mouvement du texte,
• puis proposant avec tact, c’est-à-dire sans plaquer connaissances ou idées reçues et en se gardant bien de verrouiller l’interprétation, un ou plusieurs axes directeurs appelés à guider la suite de l’explication ;
— commentaire attentif à marquer les principaux mouvements du texte étudié et à hiérarchiser ses observations en fonction du ou des fil(s) directeur(s) retenu(s), sans céder à la facilité de la simple juxtaposition voire au risque de l’émiettement, par succession désorganisée de remarques disparates ;
— conclusion revenant de façon concise sur les principaux éléments de l’analyse et apportant des réponses claires et nettes aux questions liminaires posées. »
Quelques billets proposés en 2022
– Saint-Amant, « L’Hiver des Alpes »,
ou Musset, Lorenzaccio, III, 3, de « Tu me demandes » jusqu’à « traits de sang ».
– Théophile de Viau, « La Solitude », du début à « ces solitudes »,
ou Sartre, Les Mots, I, de « Il fut » jusqu’à « pour entendre ».
– Boileau, Art poétique, chant III, v. 1-37, ou Flaubert, L’Éducation sentimentale, III, 1, de « Le Père Roque », jusqu’à « une indemnité ».
– Marot, « Petite épître au Roi »,
ou Yourcenar, Mémoires d’Hadrien, I, de « De tous les bonheurs », jusqu’à « qu’est moi-même.
– Corneille, Le Cid, I, 2, v. 91-124,
ou Stendhal, La Chartreuse de Parme, I, 3, de « À ce moment » jusqu’à « médita longtemps ».
– Scarron, Le Roman comique, I, 1, du début à « du pied »,
ou Desbordes- Valmore, Poésies, « L’Amour ».
– Garnier, Hippolyte, v. 1407-1439,
ou Anna de Noailles, Les Forces éternelles, « Pensée dans la nuit ».
– Montaigne, Essais, « De l’expérience », de « quand je danse » jusqu’à « aequor »,
ou Éluard, Capitale de la douleur, « Leurs yeux toujours purs ».
– Le cardinal de Retz, Mémoires, Seconde partie, de « La Reine » jusqu’à « incroyable »,
ou Ionesco, Le Roi se meurt, de « comment m’y prendre ? » jusqu’à « le freine ».
– Rousseau, Rêveries du promeneur solitaire, « Seconde promenade », de « Il était presque » jusqu’à « plaisirs connus »,
ou Baudelaire, Petits poèmes en prose, « Le mauvais vitrier », de « Un matin » jusqu’à « en grognant.
– Corneille, Cinna, I, 1, v. 1 à 36,
ou Zola, La Fortune des Rougon, chap. I, de « La bande descendait » à « jusqu’aux pierres du chemin ».
– Marivaux, L’Île des esclaves, I, 2, du début de la scène à « mille bontés pour lui »,
ou Barbey d’Aurevilly, L’Ensorcelée, chap. III, de « Nous sommes des imbéciles ! » à « Et ils s’en allèrent ».
– Scève, Délie, dizain CCXLV,
ou Vigny, Chatterton, I, 2, du début de la scène à « Ils sortent ».
– Voltaire, Dictionnaire philosophique, « Torture », de « Il n’y a pas d’apparence » à « le chapeau sur la tête »,
ou Reverdy, Plupart du temps 2, « Après-midi ».
– Marbeuf, « Et l’amour et la mer… »,
ou Beckett, En attendant Godot, Acte II, de « ESTRAGON : En attendant … » à « ESTRAGON : C’est vrai. ».
– Molière, L’Amour médecin, Acte II, scène 1 et début de la scène 2, jusqu’à « LISETTE : … mais je sais bien que cela est. »,
ou Mallarmé, Poésies, « Brise marine ».
Quelques billets proposés en 2021
– SÉVIGNÉ, Lettres choisies, lettre du 9 août 1671, de « Ce que vous dites sur les inquiétudes » à « la tendresse que j’ai pour vous. » ou RIMBAUD, Illuminations, « Conte ».
– MOLIÈRE, Les Fourberies de Scapin, II, 2, de « Géronte » à « présence » ou MALLARMÉ, Poésies, « Brise marine ».
– D’AUBIGNÉ, Les Tragiques, livre II, de « Je veux » à « d’une prompte jeunesse » ou BALZAC, La Peau de chagrin, de « Figurez-vous » à « mystérieux ».
– CORNEILLE, La Place Royale, I, 1, du vers 34 au vers 62 ou CÉLINE, Voyage au bout de la nuit, de « Ce colonel c’était donc un monstre ! » à « … des hommes ? ».
– MARIVAUX, La Colonie, scène IX, de « Arthénice: Venons à l’esprit » à « Une autre femme : … que cela à faire », ou BAUDELAIRE, Petits poèmes en prose, « Perte d’auréole ».
– DIDEROT, Œuvres esthétiques, Salon de 1767 « M. Diderot », de « Moi. » à « …plus excellent homme. » ou LAFORGUE, Les Complaintes, « Complainte d’un autre dimanche ».
– SEDAINE, Anthologie poétique du XVIIIe, « Épitre à mon habit » (v. 42-76) ou BARBEY
D’AUREVILLY, Les Diaboliques,« Le bonheur dans le crime », de « Le satin » à « par un homme ».
– LA BOÉTIE, Sur la servitude volontaire, de « Mais, à bon dieu » à « refuse de nommer » ou
REVERDY, Plupart du temps, « Quelque part ».
– BEAUMARCHAIS, La Mère coupable , I, 1-2, de « Que Madame s’éveille » à « sombre et terrible », ou ÉLUARD, Derniers poèmes d’amour, « Mais elle ».
– CORNEILLE, Suréna « Ces actions sont belles » à « le devoir », v.862-900, ou ALOYSIUS BERTRAND, Gaspard de la nuit, « L’heure du sabbat ».
– ROTROU, Le Véritable Saint Genest, de « Il ne dit pas un mot » à « où je vous voy » , v. 1296 à 1321, ou PRÉVERT, Paroles, «Complainte de Vincent ».
– MARBEUF, Recueil des vers, « Anatomie de l’œil », ou MAURIAC, Thérèse Desqueyroux de « Elle avait vécu jusqu’à ce soir » à « Thérèse s’éveille ».
– MONTAIGNE, Les Essais, Livre I, chapitre XXVI, « De l’institution des enfants », de « Ainsi, sans doute » à « forme » ou IONESCO, La Cantatrice chauve, scène I, du début à « je saurai m’y prendre ».
– SAINT-AMANT, Anthologie de la poésie française du XVIIème siècle, « Le Paresseux » ou BRETON, Nadja, de « Je venais de » à « d’orgueil ? »
– PERRAULT, Contes, « Le petit Poucet », du début à « elle était leur mère. » ou DESBORDES-VALMORE, Poésies, « Les Séparés ».
– DIDEROT, Essais sur la peinture, Chap. VII, de « Je vois une haute » à « flots de l’océan. » ou MUSSET, Les Caprices de Marianne, Acte II, sc. 6, de « Ne serait-elle pas » à la fin.
– PREVOST, Histoire du chevalier Des Grieux et de Manon Lescaut, Deuxième Partie, de « Je demeurai » à « qui me restait. » ou PIEYRE DE MANDIARGUES, L’Âge de craie, « Nuits ».
– LABÉ, Sonnets, VIII, ou CAMUS, L’Étranger, du début à « plus à parler.»
– CORNEILLE, Horace, II,3, v.483-502 ou BAUDELAIRE, Les Fleurs du mal, « Hymne à la beauté ».
– VIAU, Oeuvres poétiques, XII, « La Solitude », du début au v.32 ou ANOUILH, Antigone, de « Il faut être sergent » à « toute seule ».
– CHÉNIER, Dernières poésies, IV, de « Comme un dernier » à « Vivez en paix.» ou SARTRE, Les Mains sales, 5ème tableau, sc. 3, de « vous avez l’air » à « te salir les mains. »
– De LERY, Histoire d’un voyage en terre de Brésil, Ch. XIII. De « Au reste » à « pauvre sauvage Ameriquain. » ou IONESCO, Rhinocéros, III. De « Ce sont eux qui sont beaux » à la fin.
– D’AUBIGNE, Les Tragiques, « Misères », v. 73-96 ou ROSTAND, Cyrano de Bergerac, III, 7, v. 1440-1483.
– JODELLE, Anthologie de la poésie française du XVIème siècle, « Comme un qui s’est perdu… » ou STENDHAL, Le Rouge et le Noir, II, 17, de « M. de La Mole était sorti. » à « Elle s’enfuit. »
– SOREL, Histoire comique de Francion, De « Ce qui m’était » à « tant je suis votre serviteur. » ou SAINT JOHN PERSE, Amers, « Invocation », 4.
– MARIVAUX, La Double Inconstance, II, 11. De « Nous nous parlons de fille à fille » à « Je le sens bien. » ou VILLIERS de L’ISLE-ADAM, Contes cruels, « Fleurs de ténèbres ».
[Il n’y a pas eu d’oraux en 2020]
Quelques billets proposés en 2019
Théophile de Viau, « La Solitude », v. 129 à 164 ; Flaubert, L’Éducation sentimentale, de « La vue de votre pied me trouble » à « Et ce fut tout. »
La Fontaine, « Le savetier et le financier » ; Giono, Colline, p. 113-114 de « Maurras est seul » à « le pin qu’elle étripe ».
La Fontaine, « L’huître et les plaideurs » ; Musset, On ne badine pas avec l’amour, II, 5, de « Tu voulais partir » à « Il sort. »
Ronsard, La Continuation des Amours, « Marie qui voudrait » ; Robbe-Grillet, La Jalousie, p. 112-114 de « la main aux phalanges » à « d’un bon centimètre ».
Perrault, Contes, « Le petit chaperon rouge » (la fin) ; de « Toc, Toc « Qui est là ? » à « les plus dangereux » ; Rimbaud, « Rêvé pour l’hiver ».
Guilleragues, Lettres portugaises, lettre V, p. 95 de « Je demeure d’accord… » à « tous mes divers mouvements ? » ; Nerval, Les Chimères, « Delfica ».
Bernardin de Saint-Pierre, Paul et Virginie, p. 158-159 de « Dans les balancements » à « vers les cieux » ; Roland Barthes, Mythologies, « Romans et enfants », p. 60-61 de « Qu’est-ce que cela veut dire ? » à « ne sera jamais qu’une femme ».
La Bruyère, Les Caractères, p. 195-196, « Des biens de fortune » LV-LVII ; Giraudoux, Amphitryon 38, III, 5, p. 174-175 de « Je crois que je comprends » à « Jupiter, j’y cours ! ».
Corneille, Le Cid, III, 4, p. 796, réplique de Chimène ; Claude Simon, L’Acacia, p. 54-56 de « ce fut tout juste si » à « reprenait sa marche. »
Racine, Phèdre, I, 3, v. 247-278 ; Georges Bernanos, Journal d’un curé de campagne, p. 5-6 du début à « inimaginable asile ».
Montaigne, Les Essais, III, 5, « Sur des vers de Virgile », p. 844-845 de « Noz maistres » à « leurs yeux » ; Flaubert, Bouvard et Pécuchet, p. 106-107 de « Pécuchet fit un signe » à « des fruits ».
Malherbe, Poésies, « Beaux et grands bâtiments… » ; Sarraute, Enfance de « J’étais assise » à « rien à moi ».
Montesquieu, Lettres persanes, lettre CLXI ; Sartre, Les Mains sales, cinquième tableau, scène 3, de « Vous…vous avez l’air » à « meilleur moyen ».
Corneille, Horace, II, 3, v.483-506 ; Balzac, Le Lys dans la vallée, « Les deux enfances », de « Je contemplai le comte » à « des vestiges de noblesse ».
Sévigné, Lettres, 15 décembre 1670, « À Coulanges » ; Baudelaire, Les Fleurs du mal, LXXV, « Spleen ».
Pascal, Pensées (classement Sellier), « Disproportion de l’homme », de « Que l’homme contemple donc » à « petitesse de la nature » ; Musset, On ne badine pas avec l’amour, I, 2, de « Bonjour mon père » à la fin de la scène.
La Fontaine, Fables, VII, 9 « La laitière et le pot au lait » ; Chateaubriand, Mémoires d’outre- tombe, livre XXI, chap. 5, de « Cependant Kutuzoff » à « des bataillons en retraite. »
Rabelais, Gargantua, « Prologue de l’auteur », du début à « bataillent » ; Ponge, Le Parti pris des choses, « Les Mûres ».
Du Bellay, Les Regrets, sonnet 4 ; Proust, À l’ombre des jeunes filles en fleurs, de « Pendant les longs après-midi » à « La Rochefoucauld ».
Montaigne, Les Essais, II, 12, de « La présomption » à « Troglodites » ; Laforgue, Les Complaintes, « Complainte du pauvre corps humain ».
Montaigne, Les Essais, III, 8, p. 205-206, de « Nous fuyons à la correction… » à « je la vois approcher. » ; Baudelaire, Les Fleurs du mal, « Spleen et idéal », XLII, « Que diras-tu ce soir ? ».
Marot, L’Adolescence clémentine, « Épître à son ami Lion, v. 16-46 ; Flaubert, L’Éducation sentimentale, III, 1, p. 289-290, de « Tout à coup la Marseillaise… » à « et brûlé. »
Laclos, Les Liaisons dangereuses, IVe partie, lettre CXXV, de « Je m’attendais bien » à « et me soulage. » ; Breton, Clair de terre, « Mille et mille fois », p. 79-80, du début du poème à « pour entrer dans la tour ».
Marguerite de Navarre, L’Heptaméron, Première journée, nouvelle 8, p. 44-45, de « La promesse faicte » à « luy feroit recepvoir. » ; Senghor, Œuvre poétique, « New York », I, du début du poème à « cadavres d’enfant ».
Voltaire, Traité sur la tolérance, XII, p. 139-140, de « Quel est l’ambassadeur » à la fin du chapitre ; Apollinaire, Alcools, « Zone », p. 12-13, de « Tu regardes » à « ma bouche ».
Quelques billets proposés en 2018
Choderlos de Laclos, Les Liaisons dangereuses, Lettre XXII, de « Mon domestique » jusqu’à la fin de la lettre et Jean Giraudoux, Amphitryon 38, Acte II, Sc. 2, de « Quelle nuit divine ! » à « Un silence. »
Montaigne, Essais II (PUF, coll. « Quadrige »), « De la colère », p. 714 (« Plutarque est admirable ») à la p. 715 (« faim ny soif ») et Henri Michaux, Plume, « Un homme paisible ».
Alain-René Lesage, Gil Blas de Santillane, Ch. II, du début à « avant mon départ » et Charles Baudelaire, Les Fleurs du Mal, « À une passante ».
Marguerite de Navarre, Heptaméron, Septième Journée, 65e nouvelle, depuis « Si chacun congnoissait » à « ne fault juger que soy-mesmes. » et Georges Bernanos, Dialogues des carmélites, Quatrième Tableau, Sc. 7.
Jean de La Fontaine, Fables, XII, 2 : « Le chat et les deux moineaux » et Paul Valéry, L’Âme et la Danse (Gallimard, collection « Blanche »), p. 146 (« En quoi cette danseuse ») à la p. 148 (« avec la stature »).
Madame de Sévigné, Correspondance, Lettre 137, de « Vous saurez, ma petite » à « asseoir sa femme » et Samuel Beckett, Fin de partie (Éditions de Minuit), p. 15 (« Clov (regard fixe) ») à la p. 18 : « Un temps. »
Théophile de Viau, Œuvres poétiques, Ode XLIX en entier et Gustave Flaubert, Bouvard et Pécuchet, I, du début à « ils se considérèrent ».
Ronsard, Les Amours, sonnet 41 et Nathalie Sarraute, Enfance, depuis « La maîtresse nous prend » jusqu’à « tant d’ingéniosité ».
Blaise Pascal, Pensées, § 123-125 et Francis Ponge, Le Parti pris des choses, « Les Mûres ». Montesquieu, Lettres persanes, Lettre CLXI et Guillaume Apollinaire, Alcools, « Le Pont Mirabeau ».
Madame de Sévigné, Correspondance, Lettre du 6 février 1671 et Henri Michaux, L’Espace du dedans, « Clown ».
Mme de La Fayette, La Princesse de Clèves, Première partie, depuis « Elle passa le jour », jusqu’à « ne s’en doutaient point » et Arthur Rimbaud, Illuminations, « Les Ponts ».
Quelques billets proposés en 2017
Jodelle, « Comme un qui s’est perdu dans la forêt profonde » ; Balzac, Les Illusions perdues, éd. Ph. Berthier, GF, p. 267-268, de « Pour faire de belles œuvres » à « Je triompherai ! »
Molière, Le Malade imaginaire, acte II, scène 5, de « Monsieur, ce n’est pas parce que je suis son père » à « et autres opinions de même farine » ; Sarraute, Enfance, Folio, p. 47-48, de « J’ai reçu un large livre relié » à « comme deux petits cochons de lait… »
Saint-Simon, Mémoires, année 1715, de « Quand ils étaient près de venir travailler » à « comme on l’a vu ici en son temps » ; Baudelaire, Le Spleen de Paris, « Le désespoir de la vieille ».
Rousseau, Les Rêveries du promeneur solitaire, de « Je me rappellerai toute ma vie » à « la manière comique dont j’en avais été puni » ; Beckett, Compagnie, Minuit, p. 15-17, de « Comme c’était jour férié » à « Terminé ! ».
Prévost, Manon Lescaut, de « Il était donc question » à « et de là chez M. de T… » ; Koltès, Dans la solitude des champs de coton, Minuit, p. 9-10, de « Si vous marchez dehors » à « de me le demander ».
Pascal, Les Provinciales, de « Je ne vous dirai rien cependant » à « puissante comme Dieu même » ; Michon, Vies minuscules, Folio, p. 97, de « Parfois, un galop de centaures » à « douloureusement il s’y perdait ».
Beaumarchais, Le Barbier de Séville, acte II, scène 8, de « Ah ! Don Basile, vous veniez donner à Rosine sa leçon de musique ? » à « pour empêcher le vôtre d’approcher » ; Ponge, Le Parti pris des choses, « Le mollusque ».
Jules Michelet, La Sorcière, de « Le Malleus » à « usurpé tout entier » (GF, p. 158-159) ; Eugène Ionesco, Le roi se meurt, de « J’avais un petit chat tout roux » jusqu’à « enfant sadique » (Folio, p. 110-111).
Charles Baudelaire, Les Fleurs du Mal, « Remords posthume » ; Michel Tournier, Vendredi ou Les Limbes du Pacifique, Folio p. 117-118, du début du chapitre jusqu’à « se posait ».
Boileau, Le Lutrin, v. 17-52 ; Bernardin de Saint-Pierre, Paul et Virginie, du début jusqu’à « des cieux ».
Molière, Dom Juan, acte V, scènes 5 et 6 ; J.-K. Huysmans, Là-Bas, du début à « Homais ! »
Senancour, Oberman, lettre LXXXV, de « Le génie de l’homme éveillé » jusqu’à « lugubre encore » ; Eugène Ionesco, Le roi se meurt, de « Nous n’avons pas le temps » à « Vous allez voir tout à l’heure » (Folio, p. 22-25).
Bernardin de Saint-Pierre, Paul et Virginie, de « Mais de tout » à « doux parfums » (GF, p. 104) ; Blaise Cendrars, Du monde entier, « Fantômas ».
Boileau, L’Art poétique, chant premier, v. 1-38 ; Prosper Mérimée, Chronique du règne de Charles IX, Folio p. 273-274, du début du chapitre jusqu’à « se faire reconnaître ».
Bossuet, Oraison funèbre de Henriette d’Angleterre, de « Telle était » à « ses malheureux restes » ; Jean Giono, Un roi sans divertissement, Folio p. 21-23, de « Bergues rentra » à « girouette ».
Rousseau, Dialogues, GF p. 138-139, de « et moi je pense » à « dans la balance » ; Aloysius Bertrand, Gaspard de la nuit, « Le Maçon ».
Saint-Simon, Intrigue du mariage de M. le duc de Berry, p. 58 de « Je vis » à « occasion » ; Claudel, Tête d’or, p. 88-89 de « De grands cris » à « truite ».
Jean de La Taille, Saül le furieux, acte I, v. 80-106 ; André Malraux, La Condition humaine, p. 303-304 de « C’était dans ce préau » à « main ».
Rousseau, La Nouvelle Héloïse, lettre LVII de « J’ai cru » à « unisse » ; Rimbaud, Illuminations, « Barbare ».
Crébillon, Lettres de la marquise de M*** au comte de R***, lettre VIII jusqu’à « pour m’empêcher d’en avoir jamais » ; Paul Valéry, Charmes, « Les Grenades ».
Jean de Sponde, « Je sens dedans mon âme une guerre civile », Anthologie de la poésie amoureuse de l’âge baroque, p. 354-355 ; Proust, Du côté de chez Swann, Folio p. 288, de « Mais quand elle était partie » à « Compiègne ».
Laclos, Les Liaisons dangereuses, lettre XCI de « Quoi ! » à « l’obtenir » ; André Breton, Clair de terre, « Silhouette de paille ».
Molière, Tartuffe, acte III, scène 6, v. 1073-1106 ; Pierre Senges, Achab (séquelles), p. 109 jusqu’à « bouillon ».
Ronsard, Les Amours, sonnet CLXXXIX, « Son chef est d’or » ; Pascal Quignard, Petits traités II, « Traité de M. Hamon », p. 93-96.
Lesage, Histoire de Gil Blas de Santillane, p. 196-197, de « Centellès et mon maître » à « de chez le bourgeois » ; Giraudoux, La guerre de Troie n’aura pas lieu, p. 129-131, de « L’explication, alors ? » à « tant pis ».
Rabelais, Gargantua, p. 97-98, de « En l’abbaye » à « si me suibvez ! » ; Chateaubriand, Mémoires d’outre-tombe, p. 116-117, de « Hier au soir » à « qui va bientôt disparaître ».
Laclos, Les Liaisons dangereuses, lettre LXXXI, p. 268-269, de « Alors je commençai » à « aurait pu obtenir » ; Verlaine, Fêtes galantes, « Clair de lune ».
Maupassant, La Maison Tellier, p. 96-97, de « Le prêtre » à « vers le ciel » ; Barthes, Mythologies, p. 123-124, de « L’étape qui subit » à « mieux s’en libérer ».
Jodelle, « Comme un qui s’est perdu », Anthologie de la poésie amoureuse de l’âge baroque, p. 261 ; Musset, On ne badine pas avec l’amour, p. 77-79, de « Insensés que nous sommes » à « Adieu, Perdican ».
La Fayette, La Princesse de Montpensier, p. 10, de « Le duc d’Anjou » à « surnaturelle » ; Claudel, Connaissance de l’est, « Le Contemplateur ».
Quelques billets proposés en 2016
Molière, L’École des femmes, acte I scène 1 (de « Chacun a sa méthode » à « Et voir, si de mon choix on me doit condamner ») ; Flaubert, L’Éducation sentimentale (de « La lumière, à de certaines places éclairant la lisière du bois » à « comme un groupe de Titans immobilisés dans leur colère »).
Mme de La Fayette, La Princesse de Clèves (de « Il parut alors une beauté à la Cour » à « qui est d’aimer son mari et d’en être aimée ») ; Baudelaire, Les Fleurs du Mal (« Le Balcon »).
Diderot, Jacques le Fataliste (de « Ce fut peu de temps après cette aventure » à « mon écrit vous donne de l’humeur ») ; Perec, W ou le souvenir d’enfance (de « C’était en 1955 ou en 1956 » à « mais je m’arrangeai pour ne plus jamais les remettre »).
La Bruyère, Les Caractères (de « Vient-on de placer quelqu’un dans un nouveau poste » à « dévoués à la fureur d’en dire du bien ») ; Lagarce, Juste la fin du monde (de « C’est Catherine » à « Vous vivez d’une drôle de manière »).
Malherbe, Œuvres poétiques, « Consolation à Monsieur du Périer », du début à « Et ne suit point les morts » ; Stendhal, Le Rouge et le Noir (de « Mais ce bruit admirable » à « l’ouvrage de cent numéros des journaux jacobins »).
Maurice Scève, Délie, dizain XVII ; François Bon, Décor ciment, Minuit, p. 7-8 (jusqu’à « cristal »).
Jean de Sponde, « Si c’est dessus les eaux… », dans Gisèle Mathieu-Castellani, Anthologie de la poésie amoureuse de l’âge baroque, Le Livre de poche, p. 351 ; Claude Lévi-Strauss, Tristes tropiques, p. 9-10 (jusqu’à « le fixer »).
Abbé Prévost, Manon Lescaut, GF-Flammarion, p. 114-115 (de « Le Supérieur » à « consoler ») ; Valère Novarina, La Scène, P.O.L, p. 117-121 (de « Le langage est une matière » à « en langage »).
Pontus de Tyard, « Je fumais… », Anthologie de la poésie amoureuse de l’âge baroque, p. 425 ; Georges Perec, Un homme qui dort, Folio, p. 17-18 (jusqu’à « amer »).
Marguerite de Navarre, L’Heptaméron, Garnier, p. 151-152 (de « Qu’appelez-vous parfaictement aymer » à « ne peult entendre ») ; Blaise Cendrars, Prose du Transsibérien, Gallimard, « Poésie », p. 27-28 (de « En ce temps-là » à « Et de la mer »).
Du Bartas, « La fin du monde », Anthologie de la poésie baroque, p. 16 ; Barbey d’Aurevilly, Les Diaboliques, GF, p. 281-282 (de « Cependant les crimes de l’extrême civilisation » à « manière de le raconter »).
Honoré d’Urfé, L’Astrée, Folio, p. 154-155 (de « les voyant tous attentifs » à « pour divers sujets ») ; André Breton, L’Amour fou, Folio, p. 24-26 (de « Le 10 avril 1934 » à « ne sera pas »).
Charles Sorel, Histoire comique de Francion, Folio, livre VI, p. 283-284 (de « Depuis que je m’étais vu » à « l’inventeur de la confrérie ») ; Saint-John Perse, Vents, I, Gallimard, « Poésie », p. 11-12 (de « C’étaient de très grands vents » à « le désir encore va chanter »).
Saint-Amant, « La pipe », Anthologie de la poésie baroque, p. 73 ; Barbey d’Aurevilly, Les Diaboliques, GF, p. 97-98 (de « Il vit donc toujours » à « de durer toujours »).
Abbé Prévost, Manon Lescaut, ch. I (depuis « J’avais marqué le temps jusqu’à « rendre heureuse ») ; H. de Montherlant, La Reine morte, acte I scène 1 (jusqu’à « je serais morte »).
Molière, Georges Dandin, acte II scène 8 (du début de la scène à « que tu viens de faire ») ; Jules Verne, Vingt mille lieues sous les mers, du début du roman jusqu’à « y renoncer ».
Charles Perrault, Contes en vers, « Peau d’Âne » (depuis « Un jour le Prince… » jusqu’à « jamais effacés ») ; Alain Robbe-Grillet, La Jalousie, Minuit, p. 177-179 (depuis « Le monsieur là-bas … » jusqu’à « …lesquels »).
Beaumarchais, Le Barbier de Séville, « Lettre modérée » (jusqu’à « … mon Barbier ») ; Mérimée, Carmen, depuis « Notre langue » jusqu’à « près d’en faire ».
A. Dumas fils, La Dame aux camélias [roman], de « La première fois que je l’ai vue » jusqu’à « … pour elle » ; Sartre, Les Mains sales, 1er tableau scène 1, depuis « Tu parles trop… » jusqu’à la fin de la scène.
Quelques billets proposés en 2015
Robert Garnier, Les Juives, acte I, v. 43-76 ; Stendhal, Le Rouge et le Noir (explicit, de « Fouqué réussit » à « en embrassant ses enfants »).
Corneille, Le Cid, acte IV, scène 3, v. 1257-1292 ; Aragon, Le Crève-cœur, « Complainte pour l’orgue de la nouvelle barbarie » (du début à « laissez Sergent »).
Malherbe, sonnet XLIII « Beaux et grands bâtimens d’éternelle structure » ; Sartre, Les Mains sales, 5 tableau scène 3 (de « Vous… vous avez l’air » à « parmi nous »).
Diderot, Jacques le Fataliste (de « Jacques commença l’histoire de ses amours » à « Eh bien, Jacques, où en étions-nous de tes amours ? », éd. J. Proust, Le Livre de poche, 1972, p. 4-5) ; Musset, Lorenzaccio, acte IV, scène 9 (de « Une place ; il est nuit » à « aux fenêtres »).
Montesquieu, Lettres persanes, lettre XXVIII (du début à « Il semble que le lieu inspire de la tendresse ») ; Baudelaire, Les Fleurs du Mal, « Élévation ».
Molière, Les Précieuses ridicules, acte I, sc. 9, de « Mesdames, vous serez surprises » à « sur leur prud’homie » ; Laforgue, Les Complaintes, « Complainte de l’oubli des morts ».
Marivaux, L’Île des esclaves, sc. 2 (du début de la scène à « il a bien été le vôtre ») ; Albert Cohen, Belle du Seigneur, chapitre XXV (de « Vestiaire, dit Mangeclous » à « comme vous voyez »).
François Villon, Poésies diverses, « Débat du cuer et du corps de Villon » (de « Qu’est-ce que j’oy » au v. 30 : « Et je m’en passeray ») ; Villiers de l’Isle-Adam, L’Ève future, livre I, chapitre II (de « Bien que son visage » à « ses propres découvertes »).
Cyrano de Bergerac, L’Autre Monde ou les États et Empires de la lune, p. 31-32 : de « La lune était » à « pour me le confirmer » ; Alexandre Dumas, Antony, acte III, scène 3, de « Qu’elle arrive enfin » à « qu’il ne la revoie jamais ».
Saint-Amant, Moïse sauvé, « La pêche » ; Eugène Ionesco, Le Roi se meurt, de « Sans moi » à « Tant qu’on pourra ».
Retz, Mémoires, tome I (éd. Pléiade), depuis « on ne parla que peu » jusqu’à … « dont je vas vous rendre compte » (p. 3) ; E. Rostand, Cyrano de Bergerac, acte II, sc. 8 (de Cyrano : « Et que faudrait il faire ? » jusqu’à « faire un vers »).
Crébillon, Le Sopha, ch. I, Depuis « Shah-baham, premier du nom… » jusqu’à « il voulut que les courtisans s’appliquassent » ; Lautréamont, Chants de Maldoror, chant I, str. 9, depuis le début jusqu’à « que j’adore ».
Robert Garnier, Marc Antoine, acte I, sc. 1, depuis le début jusqu’à «…exercer sa victoire » ; Marguerite Duras, Moderato Cantabile, depuis « Je ne veux pas apprendre le piano » jusqu’à « pour t’endormir », p. 14-16.
Diderot, Jacques le Fataliste, de « Vous allez dire que » jusqu’à « tes amours » ; Robert Desnos, Corps et biens, « Jamais d’autre que toi », p. 142-143.
Delille, Les Jardins, chant II, « Versailles » ; Musset, Lorenzaccio, acte IV, scène 4 (de « Pourquoi le duc vous quittait-il » à « votre mari »).
Pascal, Pensées, « Imagination », de « C’est cette partie » jusqu’à « l’autre de honte » ; Henry Bauchau, L’Enfant bleu, p. 44-45 (de « Orion s’installe à sa place » à « et les îles, on aime ça ! »).
Marivaux, La Dispute, acte I, sc. 1 et 2 (depuis Le Prince : « Pour bien savoir… » jusqu’à la fin de la scène 2) ; A. Robbe-Grillet, Le Voyeur, depuis le début jusqu’à « intéressant. », p. 9- 10.
Corneille, La Place Royale, acte I, sc. 4 (Alidor : v. 209 à 232), p. 21-22 ; René Char, Dans l’atelier du poète, « Le mortel adversaire ».
André Chénier, Poésies antiques, II, « La jeune Tarentine » ; Nathalie Sarraute, Pour un oui ou pour un non, depuis « mais justement, ce n’est rien» jusqu’à «ce n’est pas sans importance », p. 12-14.
Brantôme, Vie des Dames Galantes, fin du premier discours, depuis « Je prie les honnêtes dames » jusqu’à « la trompette sonner » ; Cocteau, Antigone, depuis le début jusqu’à « méprise les dieux », p. 13-16.
Bossuet, Oraison funèbre de Henriette d’Angleterre, de « Oui, Madame » à « restes » ; Georges Perec, Un homme qui dort, p. 17-18 (jusqu’à « amer »).
Molière, Tartuffe, acte III, scène 6, v. 1073-1106 ; Marguerite Duras, L’Amant, p. 42-44 (de « L’homme élégant » à « Saïgon »).
Saint-Simon, Intrigue du mariage de M. le duc de Berry, p. 58 (de « Je vis » à « occasion ») ; Jules Laforgue, Les Complaintes, « Complainte de la fin des journées ».
Montaigne, Les Essais (I, 31), de « Trois d’entre eux » jusqu’à la fin de l’essai ; André Malraux, La Condition humaine, p. 310 (de « Katow n’oubliait pas » à « le sifflet »).
Crébillon fils, Lettres de la marquise de M* au comte de R*, du début de la lettre VIII à « d’en avoir jamais » ; André Breton, « Silhouette de paille », Clair de terre.
Quelques billets proposés en 2014
Du Bellay, Les Regrets, sonnet CXXXVIII (« Devaulx, la mer reçoit tous les fleuves du monde ») ; Sartre, Les Mains sales, troisième tableau, scène 3, de « Vous entendez ? Eh bien, renseignez-le. » à « Ils ont raison, c’est une question de peau ».
Marot, L’Adolescence clémentine, épître VII (« Epître pour le Capitaine Bourgeon, à Monsieur de la Rocque ») en entier ; Bernanos, Journal d’un curé de campagne, chap. I, de « Ma paroisse est dévorée par l’ennui » à « je crois qu’un saint l’eût appelé. »
Rabelais, Gargantua, chap. LIV, « Inscription mise sur la grande porte de Theleme » (les 6 premières strophes jusqu’à « Face non humaine ») ; Musset, Fantasio, acte II, scène 3, de « Quel métier délicieux que celui de bouffon ! » à « son triste voile de fiancée ».
Montaigne, Les Essais, livre III, chap. 9 (« De la vanité », p. 973- 974, de « [B] Outre ces raisons, le voyager me semble un exercice profitable » à « je n’ay point de faim qu’à table ») ; Valéry, Charmes, « Fragments du Narcisse », I, de « Te voici, mon doux corps » à « inépuisable Moi !… ».
La Fayette, La Princesse de Clèves, (éd. A. Niderst, Garnier Frères, 1970), p. 293-294 de « Les grandes afflictions et les passions violentes, repartit M. de Nemours » à « si l’arrivée de M. de Clèves n’eût fini la conversation et sa visite. » ; Verlaine, Romances sans paroles, « Child Wife ».
Corneille, L’Illusion comique, acte IV scène 7, v. 1237-1260, du début du monologue jusqu’à « Dont le fatal amour me rend si glorieux ? » ; Saint-John Perse, Amers, « Étroits sont les vaisseaux », III, de « Mes dents sont pures sous ta langue » à « L’amour en fasse son repaire ! ».
Bossuet, Sermons. Le Carême du Louvre, « Sermon sur la prédication évangélique » (Folio classique), p. 89-90 de « Dirais-je ici ce que je pense ? » à « de n’être jamais déçu » ; Barbey d’Aurevilly, L’Ensorcelée, chap. III, de « Et ils délibérèrent » à « Haut les fusils, camarades, et en avant !… »
Crébillon fils, Lettres de la marquise de M*** au comte de R***, p. 121-122, lettre XXXVI, du début « Que vous vous plaignez froidement » à « ne vous rend-elle pas assez malheureux ? » ; Genet, Les Bonnes, de « Voleuse, moi ? » à « C’est grâce à moi que tu es, et tu me nargues ! ».
Saint-Simon, Mémoires, « Intrigue du mariage de M. le duc de Berry », p. 74-76 de « Le Roi, informé que Paris et tout le public murmurait » à « avait compté de s’acquérir ainsi toute la liberté. » ; Colette, La Naissance du jour, chap. III, de « Une des grandes banalités de l’existence, l’amour » à « sous la fenêtre bleuissante, qu’à eux-mêmes. ».
Diderot, Essais sur la peinture. Salons de 1759, 1761, 1763, Hermann, 2000, p. 223-224 de « Phénomène étrange ! » à « l’heure délicieuse que nous y aurons passée. » ; Zola, La Curée, chap. IV, de « Ils eurent une nuit d’amour fou. » à « des chevelures de Néréides pâmées. ».
Crébillon fils, Lettres de la marquise de M*** au comte de R***, du début de la lettre VIII à « d’en avoir jamais » ; Chateaubriand, Mémoires d’outre-tombe, I (la prise de la Bastille), de « Le 14 juillet » à « aujourd’hui ».
Abbé Prévost, Manon Lescaut, de « Le Supérieur » à « me consoler » ; Claude Lévi-Strauss, Tristes tropiques, du début à « le fixer ».
Rousseau, Les Confessions, III, de « Que le cœur » à « ni m’excuser » ; Pierre Senges, Fragments de Lichtenberg, p. 351 (du début à « me faire tuer »).
Jean de La Taille, Saül le furieux, I, v. 80-106 ; Henri Michaux, Un barbare en Asie, p. 30-31 (de « Il y a » jusqu’à « ayez pitié ! »).
Rousseau, Les Confessions, II, de « Pour peu » à « plus du tout » ; Claudel, Tête d’or, Folio p. 88-89 (de « De grands cris » à « son ventre de truite »).
Rousseau, Dialogues, p. 138 (de « et moi je pense » à « dans la balance ») ; Stendhal, Le Rouge et le Noir, chapitre XLI du livre second (de « Messieurs les jurés » à « s’évanouit »).
Saint-Simon, Mémoires, « Intrigue du mariage de M. le duc de Berry », de « Je vis » à « occasion » ; Perec, Les Choses, du début à « Carrousel ».
Rabelais, Pantagruel, ch. 2, du début jusqu’à « bien garnie » (Folio p. 61) ; Musset, Les Caprices de Marianne (Comédies et proverbes), p. 128-129, acte I, scène 1, de « Figure-toi » à « la jalousie ».
Montaigne, Les Essais, livre I, ch. 26, depuis « L’Histoire, c’est plus mon gibier » à « que voire. » ; Colette, Les Vrilles de la vigne, Folio p. 210-2011, de « La dame qui allait » jusqu’à « sereins. ».
Corneille, Le Menteur, acte I, scène 5, de « Comme à mes chers amis » jusqu’à « finit nos plaisirs » ; Queneau, Les Fleurs bleues, p. 13-14, du début jusqu’à « battre ».
Galland, Les Mille et une Nuits, « Première nuit. Le Marchand et le génie », GF p. 45-46, jusqu’à « Il faut que je te tue ») ; Valéry, Poésie perdue, p. 110-111, « La Forêt ».
Guilleragues, Lettres portugaises, lettre III, du début jusqu’à « plaisirs » ; Rimbaud, Œuvres poétiques, « Le Bateau ivre », du début du poème jusqu’à « grappin ».
Fontenelle, Entretiens sur la pluralité des mondes, p. 59-60 de « Nous allâmes » à « de triste et de passionné. » ; Beckett, Fin de partie, p. 49-52 de « Clov ! / Clov (agacé) » à « (avec violence). – Non ! ».
Bossuet, Oraison funèbre de Henriette d’Angleterre, p. 171-172 de « Ô nuit désastreuse » à « si littérales » ; Zola, L’Argent, p. 16-17 de « Dans une large glace » à « des sacs pleins ! ».
Diderot, Le Neveu de Rameau, p. 116-117 de « Mais vous vous seriez échappé » à « stupide, étonné » ; Michaux, Mes propriétés, « Une vie de chien », p. 102-103 de « Je me couche » à « cela tarde bien ».
Marot, Epistres, XIII, p. 65-66 de « Roy des Françoys » à « vous ay mesfaict. » ; Claudel, Le Soulier de satin, scène I, de « Fixons, je vous prie » à « Et de l’autre nouveau ».
Rousseau, Les Rêveries du promeneur solitaire, p. 98 de « J’entrepris de faire » à « si l’on avait lu Habacuc » ; Simon, La Route des Flandres, p. 29-30 de « et à un moment » à « comme du métal ».
Brantôme, Les Dames galantes, p. 27-28 de « D’autant que ce sont les dames » à « comme une putain. » ; Verne, Vingt mille lieues sous les mers, p. 133-134 de « Un conchyliologue » à « ses noms les plus charmants ».
Quelques billets proposés en 2013
Ronsard, Les Amours, « Amours de Cassandre », 4 ; Chateaubriand, Mémoires d’outre-tombe, I (« La grive de Montboissier »), de « Hier au soir » à « qui va bientôt disparaître ».
Rabelais, Le Tiers Livre, c. 37, de « À Paris » à « un fol prendre » ; Valéry, Charmes, « Les Grenades ».
Rousseau, Les Rêveries du promeneur solitaire, 5e promenade, de « Tout est dans un flux continu » à « murmurant sur le gravier » ; Musset, Lorenzaccio, I, 6, de « Ma pauvre mère » à « corrompu ».
Rousseau, Les Confessions, Ie partie (rencontre avec Mme de Warens), de « Craignant donc » à « avec vous » ; Camus, L’Étranger, explicit, de « Lui parti » à « cris de haine ».
Jules Laforgue, Les Complaintes, « Complainte de la fin des journées » ; Bernard-Marie Koltès, Dans la solitude des champs de coton, p. 21-22 (depuis « C’est pourquoi » jusqu’à « papier gras »).
Agrippa d’Aubigné, Les Tragiques, I, v.55-83 ; Laurent Mauvignier, Des hommes, p.133-134 (jusqu’à « bouche »).
Du Bellay, Les Antiquités de Rome, III ; Robert Challe, Les Illustres Françaises, « Histoire de Silvie », Droz, p. 356-357 (de « Je me relevai enfin » jusqu’à « m’entraînait »).
Saint-Simon, Mémoires, « Intrigue du mariage de M. le duc de Berry », GF, p. 162-163 (de « Le repas fut très gai » jusqu’à « sans exemple ») ; Maupassant, La Maison Tellier, « Sur l’eau », Folio, p. 75-76 (de « Cependant » jusqu’à « eau noire »).
Du Bellay, Les Regrets, IV et V ; Alexandre Dumas, Antony, III, 3, de « Elle vient, s’applaudissant de m’avoir trompé » à « rendre malheur pour malheur ? ».
Robert Garnier, La Troade, I, 1, de « Quiconque a son attente aux grandeurs de ce monde » à « enveloppé d’un nuage fumeux » (v. 1-32) ; Albert Cohen, Belle du Seigneur, chap. XIX, de « Pour sa part, Mme Deume sortit à sept reprises » à « Elle montera l’appeler dès qu’il sera là ».
Corneille, Polyeucte, I, 1, v. 25-54, de «Avez-vous cependant une pleine assurance» à «il l’entreprend de ruse » ; Huysmans, À rebours, chap. VIII, de « Les jardiniers apportèrent encore de nouvelles variétés » à « découpé en fer de pique, par un fumiste ».
Bossuet, « Sermon sur la mort », de « Qu’est-ce donc que ma substance, ô grand Dieu » à « quand je serai demeuré derrière le théâtre » ; Jean Giraudoux, La guerre de Troie n’aura pas lieu, II, 12, de « Qu’Hélène nous soit donc rendue » à « Ah ! non. Ce n’est pas le cas ».
Saint-Amant, « La Solitude » ; Musset, Fantasio, I, 2, de « Quel bon tabac, quelle bonne bière » à « Bois donc, désœuvré, au lieu de te creuser la tête ».
Diderot, Lettres à Sophie Volland, lettre du 1er novembre 1759, de « Voilà, mon amie, ceux avec qui je converse » à « et je fis bien, n’est-ce pas, ma Sophie ? » ; Théophile Gautier, Le Capitaine Fracasse, chap. I, de « Quoique agile et d’une constitution robuste » à « on l’eût pris pour son propre aïeul ».
Abbé Prévost, Histoire d’une Grecque moderne, p. 55-56, de « Ne me rendrai-je point suspect » à « tourment continuel de ma vie » ; Jules Laforgue, Les Complaintes, « Complainte de l’oubli des morts ».
Beaumarchais, Le Barbier de Séville, I, 2, p. 58-59, de « Ta joyeuse colère » à « ils se cachent » ; Philippe Jaccottet, Poésie (1946-1967), L’Ignorant, « Le travail du poète », p. 64-65.
Saint-Simon, Mémoires, p. 97-98, de « Le serpent qui tenta Ève » à « n’est pas sans grâce » ; Pierre Michon, Vies minuscules, « Vie de Georges Bandy », p. 163-164, de « c’est là ce que me fut Annecy » à « n’étais pas maçon ».
Jean-Jacques Rousseau, Les Rêveries du promeneur solitaire, 5e promenade, p. 81-82, de « Quand le soir approchait » à « pour le lendemain » ; Alfred de Vigny, Chatterton, I, 1, p. 57-59, de « Il me semble que j’entends » à « toute ta vie ».
La Rochefoucauld, Maximes, « Maximes supprimées », p. 239-240, de « L’amour-propre est l’amour de soi-même » à « une espèce de magie qui lui est propre » ; Claude Simon, Histoire, p. 11- 12, de « l’une d’elle touchait presque » à « de tristesse et de chair momifiée ».
Charles Sorel, Histoire comique de Francion, Folio, livre VI, p. 297-298, de « Mon coutumier exercice était de châtier les sottises » à « tout autre que moi n’y eût pas réussi de la sorte » ; Samuel Beckett, En attendant Godot, p. 122-124, de « Estragon dénoue la corde qui maintient son pantalon » à « Rideau ».
Corneille, Le Cid, III, 4, GF, 2002, v. 915-949 ; Flaubert, Madame Bovary, II, 9, Folio, 1999, p. 257- 258, de « Il la regarda encore une fois » à « n’était pas fermée ».
Beaumarchais, Le Barbier de Séville, I, 4, Garnier, 1980, p. 54-56, de « Il faut marcher si vite que le soupçon n’ait pas le temps » à « jusqu’à ce qu’il soit parti » ; Stendhal, La Chartreuse de Parme, chap. XVIII, Folio, p. 355-356, de « Ce fut dans l’une de ces chambres » à « les douceurs de la prison ».
Voltaire, Dictionnaire philosophique, « Inondation », Folio, p. 325-326, de « Tout est miracle dans l’histoire du déluge » à « que l’esprit humain ne peut sonder » ; Hugo, Les Contemplations, « Le Poëte ».
Voltaire, Micromégas, chap. IV, Folio, p. 26-27, de « Ils firent tout ce qu’ils purent » à « ne voudraient pas y demeurer » ; Musset, Lorenzaccio, II, 3, de « Malaspina, vous en voulez trop savoir » à « (Il sort.) ».
La Rochefoucauld, Maximes, maximes 232 et 233 ; Saint-John Perse, Vents, II, 1, de « Des terres neuves, par là-bas » à « des plus beaux êtres de ce monde ».
Madame de Lafayette, La Princesse de Clèves, Le Livre de Poche, p. 165-166, de « Lorsque ce prince fut parti » à « heureux et malheureux tout ensemble » ; Jacques Roubaud, Quelque chose noir, « Cette photographie, ta dernière ».
Diderot, Supplément au voyage de Bougainville, Folio, p. 52-54, de « Je vois que ma fille est contente de toi » à « nous commettons un crime » ; Philippe Jaccottet, Poésie, « Au petit jour ».
Agrippa d’Aubigné, Les Tragiques, «Jugement», v.661-684; Stendhal, Racine et Shakespeare, Préface, de « Rien ne ressemble moins » à « de si grandes niaiseries ».
Diderot, La Religieuse, Le Livre de Poche, p. 164-166, de « Cette supérieure s’appelle madame *** » à « que tout est mort subitement » ; Saint-John Perse, Amers, « Invocation », 3.
Quelques billets proposés en 2012
Bossuet, « Oraison funèbre d’Henriette d’Angleterre », Garnier, p. 163-164 (« Ainsi tout est vain […] ensemble de l’univers »).
La Tour du Pin, La Quête de joie, p. 32-33 (« Enfants de Septembre » jusqu’à « crépuscule mouillé »).
La Rochefoucauld, Maximes, maximes 5 à 12.
Musset, La Confession d’un enfant du siècle, Livre de poche, p. 70 (« Qu’on ne s’y trompe pas […] la prostitution dans le cœur. »)
Corneille, Suréna, III-2, v. 881-912.
Genet, Notre-Dame-des-Fleurs, Folio, p. 214-215 (« La noblesse est prestigieuse […] mais il n’était pas noble »).
Voltaire, Lettres philosophiques, « Sur les Quakers », Folio, p. 46-47 (« Délivra […] ils en firent »).
Desbordes-Valmore, Poésies, Poésie/Gallimard, p. 182 (« La jeune fille et le ramier »).
Boileau, Satires, II, v. 1-32.
Valéry, Degas danse dessin, Œuvres, Pléiade, t. II, p. 1174 (« Il m’arrivait […] je ne réponds de rien »).
La Bruyère, Les Caractères, « De la cour », § 32 [V].
Paul Verlaine, Jadis et naguère, « Les Vaincus. II ».
Du Bellay, L’Olive, sonnet XXVI.
Sand, Histoire de ma vie, Livre de poche, p. 400-401 (« Je ne me fis pas […] de mes pleurs. »)
Mme de Sévigné, Lettres, 24 mars 1671 (« Je prétends être » jusqu’à la fin). Grosjean, La Gloire, Poésie/Gallimard, p. 28-29.
Léry, Histoire d’un voyage fait en la terre du Brésil, ch. XV (« Je pourrais encore amener […] dont les enfers ont horreur »).
Sartre, Les Mots, Folio, p. 204-205 (« J’ai changé […] Que faire d’autre ? »).
Beaumarchais, Le Barbier de Séville, III-2, Garnier, p. 93-94 (« Monsieur, j’étais chargé […] vous avez la lettre ?).
Nizan, Aden Arabie, Maspero, p. 65 (« J’avais vingt ans […] grands débris pourrissants »).
Rousseau, La Nouvelle Héloïse, I, Lettre première, depuis « Oui, je promets… » jusqu’à « moins tourmenté ».
Aloysius Bertrand, Gaspard de la nuit, « Un rêve ».
Maurice Scève, Délie, VI.
Stendhal, Lucien Leuwen, I, 5, GF, pp. 143-145, de « Vous avez beau dire… » jusqu’à « un grand roi, notre contemporain ».
Bernardin de Saint-Pierre, Paul et Virginie, incipit jusqu’à « à qui ont appartenu ces deux cabanes »
Feydeau, Le Dindon, I, 2, depuis « Oui, mais il paraît que ce n’est pas l’avis de tous les hommes… », jusqu’à « ah ! ah ! ah ! farceur ! »
Du Bellay, Les Antiquités de Rome, XXX.
Sartre, La Nausée, Folio, pp. 84-85, depuis « Rien n’a changé et pourtant… » jusqu’à « chaque battement de mon cœur ».
Marivaux, La Fausse suivante, II, 8, GF, pp. 99-101, depuis « Vous avez là un amour bien mutin » jusqu’à « Lelio est jaloux de vous ».
Perec, Les Choses, incipit jusqu’à « terre de bonheur ».
Laclos, Les Liaisons dangereuses, II, 71, Folio, pp. 188-190, depuis « Tout s’exécuta comme nous étions convenus… » jusqu’à « je veux dormir ».
Vigny, Les Destinées, « Le Mont des Oliviers ».
Corneille, Horace, I, 1, depuis « Je suis romaine hélas » jusqu’à « contre elle ».
Jean-Patrick Manchette, La position du tireur couché, incipit jusqu’à « la caissière du cinéma tricotait ».
Molière, Monsieur de Pourceaugnac, III, 7, in extenso.
Guyotat, Coma, pp. 186-188, depuis « A l’aube » jusqu’à « la seule propriété de sa vie ».
D’Aubigné, Les Tragiques, VI, v. 178-202.
Chateaubriand, Atala, GF, pp. 81-83, depuis « J’étais attaché au pied d’un arbre… » jusqu’à « aux lèvres de ma bien-aimée ».
Marguerite de Navarre, L’Heptaméron, I, 7, intégralité du récit jusqu’à « ne s’en aperceut ». Eluard, Mourir de ne pas mourir, « L’égalité des sexes ».
Voltaire, Candide, incipit jusqu’à « que tout est au mieux ». Valéry, Charmes, « L’Abeille ».
Ronsard, Amours de Cassandre, IV.
Renan, Souvenirs d’enfance et de jeunesse, GF, p. 114-115 (« Dans mes écrits […] souvent je m’endors »).
Ronsard, Continuation des discours sur la misère de ce temps, vers 1-28.
Aragon, Le Paysan de Paris, depuis « Pourquoi ce boyau que rien… » jusqu’à « bec-de- cane », Folio, pp. 102-103.
La Boétie, Discours de la servitude volontaire, Gallimard, coll. « tel », pp. 84-85, depuis « C’est chose estrange… » jusqu’à « la mort salutaire ».
Desnos, Corps et biens, « J’ai tant rêvé de toi… »
Louise Labé, Sonnets, II.
Céline, Voyage au bout de la nuit, folio, pp. 310-311, depuis « Et la musique est revenue… » jusqu’à « qu’ils se seraient précipités sur le truc ».
Marivaux, Le paysan parvenu, Garnier, pp. 135-136, depuis « Cependant les plumes… » jusqu’à « voir la fin ».
Hugo, Les Orientales, « Feuilles vertes », L’Intégrale, pp. 118-119.
Pascal, Pensées, GF, pp. 73-74, depuis « Cette superbe puissance […] » jusqu’à « sans pâlir et suer ».
Claudel, Partage de midi, Folio, pp. 59-61, depuis « Tiens, c’est vrai ! » jusqu’à « elle rit aux éclats ».
Quelques billets proposés en 2011
La Rochefoucauld, Réflexions diverses (« De l’amour et de la mer ») ; ou Malraux, La Tentation de l’Occident, lettre 2.
Bossuet, « Oraison funèbre de Louis de Bourbon » (« À la veille d’un si grand jour […] dans les plaines de Lens ») ; ou Koltès, Combat de nègre et de chiens, scène 9.
Rabelais, Le Tiers Livre, XXXVI (Trouillogan : « C’est bien chien […] il ne le voulut permettre ») ; ou Hugo, Les Contemplations, « Mors ».
Racine, Iphigénie, IV-4 (« Ma fille, il est trop vrai […] du plus pur de mon sang ») ; ou Apollinaire, Il y a (« Lorsque je vous partirez »).
Corneille, Suréna, I-3 (jusqu’à « Disposer d’une main qui ne peut être à moi ») ; ou Sartre, La Nausée, « 5 heures et demie » (« Le visage d’Adolphe est là […] rode la faible nuit »).
Théophile de Viau, « La solitude » (« Corinne, qui voudrait faire une peinture […] la feinte ») ; ou Flaubert, Madame Bovary, I-8 (« Emma, silencieuse, regardait […] au fond de l’armoire »).
Diderot, Discours d’un philosophe à un roi (jusqu’à « et leurs sacrifices au rabais ») ; ou Laforgue, Complaintes (« Complainte-litanies de mon Sacré-Cœur »).
D’Aubigné, Les Tragiques, « Misères », v. 97-130 ; ou Céline, Voyage au bout de la nuit (épisode de l’Amiral Bragueton, « Notre navire avait nom […] d’eau fadasse »).
Voltaire, Dictionnaire philosophique, « Foi », I ; ou Musset, Lorenzaccio, I-6 (depuis « Il est encore beau quelquefois » jusqu’à la fin).
Molière, Dom Juan, I-2 (« En ce cas, Monsieur […] mes conquêtes amoureuses ») ; ou Modiano, Un pedigree (Folio, p. 32-34 : « 1946 […] Mémoire et oubli »).
Marguerite de Navarre, L’Heptaméron, I-7 (jusqu’à « ne qui mieulx les engardast que vous ») ; ou Hugo, Les Orientales, « Mazeppa » (« Ils vont. Dans les vallons… […] De marbre aux veines d’or ! »).
Ronsard, Second Livre des sonnets pour Hélène, XVI ; ou Perec, La Vie mode d’emploi, I-11 (« Le mur de gauche… […] code des impôts »).
Corneille, Polyeucte, IV-3 (« Que dis-tu, malheureux […] J’y vais ») ; ou Balzac, Le Lys dans la vallée (Garnier, p. 171-172 : « Je partis […] habillé de blanc »).
Rabelais, Le Tiers Livre, XXXVII (Seigny Johan : « À Paris […] d’un fol prendre ») ; ou Valéry, Charmes, « Les Grenades ».
Rousseau, La Nouvelle Héloïse, I-26 (« Parmi les rochers de cette côte […] te posséder ou mourir ») ; ou Tardieu, Le Fleuve caché (« Personne »).
Racine, Phèdre, II-6 (« Ah ! cruel […] ose aimer Hippolyte ») ; ou Flaubert, Bouvard et Pécuchet (Folio, p. 260-261 : « Des jours tristes […] d’un air lamentable »).
Corneille, Le Cid, III-4, v. 886-912 ; ou Ernaux, La Place (Folio, p. 40-42).
Bernardin de Saint-Pierre, Paul et Virginie, § 2 (« À l’entrée de ce bassin […] sur l’azur des cieux » ; ou Char, La Parole en archipel, « L’inoffensif ».
Ronsard, Les Amours, LIX, « Comme un chevreuil » ; ou Flaubert, Madame Bovary, I-9 (« Dans l’après-midi […] Elle le regardait partir »).
Diderot, La Religieuse (Folio, p. 153-154) ; ou Césaire, Cahier d’un retour au pays natal (Présence africaine, p. 38-39 : « Je refuse de me donner […] tourbillon partenaire »).
Bossuet, « Oraison funèbre du prince de Condé » (« Chrétiens, ne murmurez pas […] entre ces royales mains ») ; ou Cendrars, Prose du Transsibérien et de la Petite Jehanne de France (jusqu’à « Et de la mer »).
Rousseau, Rêveries du promeneur solitaire, V (« De quoi jouit-on ? […] ne lui sauraient rien ôter ») ; ou Genet, Les Bonnes (« Jamais nous ne pourrons […] plus magnifiquement conduit »).
Labé, sonnet XVII ; ou Proust, Du côté de chez Swann (Folio, p. 323-324).
Tristan L’Hermitte, « La belle esclave More » ; ou Ionesco, Le roi se meurt (Folio, p. 31-34).
Condorcet, Réflexions sur l’esclavage des nègres, « Épître dédicatoire » ; ou Flaubert, Un cœur simple (GF, p. 82-83).
Molière, Le Misanthrope, I-1, v. 34-66 ; ou Éluard, L’Amour la poésie (Poésie/Gallimard, p. 147).
Villon, « Ballade des Dames du temps jadis » ; ou Claudel, Partage de midi, I (« Midi… je suis satisfait »).
Rousseau, Rêveries du promeneur solitaire, II (« Il était presque nuit […] des plaisirs connus ») ; ou Hugo, Les Contemplations, « Le pont ».
Marot, L’Adolescence clémentine, « Rondeau par contradiction » ; ou Céline, Voyage au bout de la nuit (Folio, p. 238-239 : « En banlieue […] C’est pas donné »).
Madame de Sévigné, lettre du 3 février 1672 (« Pour Monsieur le Chancelier […] n’entendent point cela ») ; ou Loti, Derniers Jours de Pékin, III (jusqu’à « la chambre abandonnée »).
Voltaire, Lettres philosophiques, I (« Monsieur […] judaïques ») ; ou Sartre, Situations, IV, « Venise, de ma fenêtre » (jusqu’à « vacance du soleil »).
Corneille, Cinna, I-3, v. 213-252 ; ou Proust, Du côté de chez Swann (Folio, p. 123-124).
Fontenelle, Entretiens sur la pluralité des mondes, second soir, 1er § (« Ainsi la marquise et moi […] habitants de la Lune ») ; ou Leconte de Lisle, Poèmes barbares, « Le Nazaréen », v. 18-32.
Racine, Bérénice, II-2, v. 271-296 ; ou Segalen, Peintures (« Portrait fidèle »).
Voltaire, Dictionnaire philosophique, « Vertu » ; ou Michon, Vies minuscules (Folio, p. 13-14, jusqu’à « c’était André Dufourneau »).
Quelques billets proposés en 2010
l’astérisque signale les sujets choisis par les candidat·es
• Diderot, La Religieuse (folio, p. 61-62) ou * Ionesco, Les Chaises, folio, p. 24-26.
• * La Fontaine, Fables XII, 17 ou Aimé Césaire, Cahier d’un retour au pays natal, p. 97-99
• * Prévost, Manon Lescaut, GF, p. 188-184 ou Giono, Regain (l’incipit)
• Molière, Le Misanthrope acte 1, sc 1 ou * Colette, Sido, Livre de poche, p 13-14
• Racine, Bérénice IV, sc 5 ou J. Réda, « L’empan » in Récitatif.
• Ronsard, Discours des misères de ce temps, GF, p. 63-64 ou * P. Michon, Vies minuscules (incipit).
• Montaigne, extrait des « Coches » in Essais III ou * Céline, Voyage au bout de la nuit, folio, p. 393-394.
• Rousseau, Les Rêveries (extrait de la Cinquième promenade) ou * Proust, Du côté de chez Swann, folio, p. 123-124.
• * Molière , Le Misanthrope, V, sc. dernière ou H. Michaux, « Le grand violon » in Poèmes.
• Corinne, Mme de Staël, p. 47-49 de « Le comte d’Erfeuil faisait… » à « … avec les mœurs des autres peuples. » ou Le Lutrin, Boileau, I, v. 17-44
• * Lecomte de Lisle, Poèmes barbares, « Le combat homérique » ou Diderot, Le Neveu de Rameau, p. 130-131, de « Puis le voilà qui se met … » à la fin.
• A. Dumas, Antony, I, 2, p. 46-47, de « Adèle : Oui, Antony de retour ! » à « … qu’il restât. » ou * Fontenelle, Entretiens sur la pluralité des mondes, p. 81-82, de « Second entretien. Que la lune… » à « … habitants de la lune. »
•* Diderot, Jacques le fataliste, p. 10-12, de « Tandis que nos deux … » à « … détail de son expédition. » ou Xavier Forneret, in Mille ans de poésie…, p. 986-987, « Un pauvre
honteux » en entier.
• * Prévost, Histoire d’une grecque moderne, p. 58-59, de « Sur le champ … » à « … et de légèreté. » ou Claudel, Tête d’or, p. 10-13, de « Les champs à la fin de l’hiver. » à « … Il est tard . »
• * La Fontaine, Fables, dans « Le pouvoir des fables » du v. 34 à la fin ou Mme de Staël, Corinne, p. 44-45 de « Leur folie était assez … » à « … avoir soin de lui. »
• Molière, L’Ecole des maris, I, 1, v. 13 « Ariste : Cette farouche humeur… » à « … seul contre tous. »ou * Ponge , Pièces, « Plat de poissons frits ».
• La Fontaine, Fables, « Le loup et le chasseur », en entier ou * Mme de Staël, Corinne, p. 130-131 de « L’aspect de la campagne. » à « … qu’on puisse leur faire ».
• Ponge, Pièces, « La crevette » de « La crevette, de la taille … » à « hallucination bénigne de la vue. » ou * Beaumarchais, Le Barbier de Séville, I, 2 du début à « Le comte : … Eh bien, cet emploi ? »
• * La Bruyère, Les Caractères, « Des ouvrages de l’esprit », n° 21, p. 72-73 ou Balzac, Les Chouans, p. 30-31, de « Du sommet de la … » à « … voltigent sur les prairies. »
• Dumas, Antony, p. 145-148 de « Ecoute, je suis libre, moi, … » à « Il me tuera » ou *Diderot, Supplément au voyage de Bougainville, p. 291-292, de « Au départ de … » à « … futur esclavage. »
•* Aragon, Les Beaux Quartiers, p. 93-94, de « Elire au collège … » à « … pas encore décidé. » ou La Fontaine, Fables, « La Ligue des rats »
• * Diderot, Salon de 1761, « Boucher », de « Quelles couleurs… » à « … des ombres » ou Duras, Le Marin de Gibraltar, p. 18-19, de « Il m’expliqua que … » à « Il ajouta : E sola. »
• * Crébillon fils, Les Egarements du cœur et de l’esprit, p. 72-74, de « La Marquise de Lurnay… » à « … que je devais attendre d’elle. » ou Musset, Discours académiques, p. 429, de « Un des talents les plus remarquables… » à « … qu’elle a semée de fleurs. »
• * J.-M. de Heredia, Les Trophées, « L’oubli» ou Prévost, Histoire d’une Grecque moderne, p. 171-172 du début du livre second à « …d’autre encontre. »
• Gide, Les Faux-monnayeurs, du début à « … de la console. » ou * Diderot, Les Entretiens sur « Le Fils naturel », p. 97-98, du début à « … de toutes vérités. »
• Julien Gracq, Un balcon en forêt, p. 9-10, du début à « … contre le soleil bas. » ou *Beaumarchais, La Mère coupable, I, 1 et 2, jusqu’à « … est devenue sombre et terrible. »
•* Dumas,Antony,I,2,p.51-52de«Ellevaaubalconetparleàsasœur.»àlafindela scène ou La Fontaine, Fables, « Le torrent et la rivière. »
•* La Fontaine, Fables, « La Tortue et les deux canards » ou Proust, Sodome et Gomorrhe, p. 6-7 de « Je savais que cette attente… » à « … ressortait de chez la marquise ».
• Molière, L’Etourdi, I, 2 v. 13-52 ou * Aragon, Les Beaux Quartiers, p. 72-73 de « Depuis quelques années… » à « … Garibaldi, glabre. »
• *Corneille, Horace, I, 1, v. 25-60 ou Duras, Le Vice-consul, p. 10-11 de « Faims et marches s’incrustent … » à « … elles font peur. »
•* Beaumarchais, Le Barbier de Séville, II, 11, de « Vous avez écrit. » à la fin de la scène ou Aragon, La Diane française, « Il n’y a pas d’amour heureux » en entier
•* Balzac, « le Réquisitionnaire », p. 166-167 de « En faisant leur promenade… » à « … des intérêts du cour » ou Molière, Le Sicilien, scènes 1 et 2 jusqu’à « … de leur faiblesse ».
•* Gautier, « Aria Marcella », de « Mais le plus jeune des trois… » à « … quoique vraie. »ou Beaumarchais, La Mère coupable, IV, 13, du début à « …nommer mon fils. »
• *Gautier, « La pipe d’opium », du début à « … je m’endormis. » ou Diderot, Paradoxe sur le comédien, de « Une femme malheureuse… » à « … de sang froid. »
• * Duras, Le Vice-consul, p. 92-93 du début du chapitre à « … le rituel méprisé » ou Corneille, Horace, II, 3, v 453-482
• Marivaux, Arlequin poli par l’amour, scène 1, de « Trivelin : C’est bien dit… » à
« …épouserez donc Merlin. » ou * Balzac, « La Grenadière », de « Depuis le mois de
juin… » à « … apparaissait déjà. »
• * Balzac, Beatrix depuis « Le chevalier était un homme de petite santé… » jusqu’à « la caisse des Invalides de la marine » ou Louise Labé, sonnet XXIV
• * Bernardin de Saint-Pierre, Paul et Virginie, incipit jusqu’à « ce que ce vieillard me raconta » ou Apollinaire, Alcools, « Nuit rhénane »
• * La Fontaine, Fables, Livre II, 2 « Conseil tenu par les rats » ou Pierre Guyotat, Coma, depuis « Je coupe mon pain… » jusqu’à « chantonne à la table sa leçon! »
• * Ronsard, Premier Livre des Sonnets pour Hélène, sonnet XXIX « Vous me dites, Maîtresse… » ou Malraux, L’Espoir, incipit jusqu’à « Valladolid fidèles ».
•* Voltaire, Lettres philosophiques, lettre II, depuis le début jusqu’à « et la feras voir »
ou Desnos, Corps et biens, « Les espaces du sommeil » (du début jusqu’à « qu’à la réalité »)
• * Louise Labé, sonnet II ou Stendhal, Le Rouge et le Noir, I, 30 depuis « Il descendit… » jusqu’à « avait de l’empire sur son cœur »
• * Racine, Mithridate, I, scènes 4 et 5, depuis « Princes, toute la mer… » jusqu’à « je ne sais qu’obéir » ou Butor, La Modification, depuis « Ainsi, vous n’aurez pas besoin… » jusqu’à « qu’elle désirait tant ».
• Cardinal de Retz, La Conjuration du comte de Fiesque, depuis « Pendant que ces choses se passaient… » jusqu’à « Vive Fiesque! Liberté! » ou * Rimbaud, Illuminations, « Promontoire » •* Bossuet, Oraison funèbre du prince de Condé, incipit jusqu’à « devant ces autels »ou Cendrars, Feuilles de route, « Paris », « Aube » et « Iles »
•* Voltaire, Lettre d’un Turc sur les fakirs, depuis « Il y en avait qui portaient… » jusqu’à la fin ou Rimbaud, Illuminations, « Génie »
• Marivaux, Les Fausses Confidences, Acte 1, scène 2, depuis « Laissons cela, monsieur… » jusqu’à la fin ou * Breton, Nadja, depuis « Tout à coup… » jusqu’à « inséparablement joints ».
•* Montesquieu, De l’Esprit des Lois, 3ème partie, livre XVIII, chap. 3 et 4 ou Vigny, Poèmes antiques et modernes, « La neige », du début jusqu’à « plus blancs que ses plis »
• André Chénier, L’invention, vers 153-184 ou * Perec, Un homme qui dort, depuis « Tu te laisses aller, tu te laisses entraîner… » jusqu’à « dans ton miroir fêlé »
• Montesquieu, Lettres persanes, lettre CLXI ou * Apollinaire, Alcools, « Les colchiques »
• * Marivaux, Les Fausses Confidences, II, scènes 1 et 2 jusqu’à « J’aime ailleurs » ou Césaire, Cahier d’un retour au pays natal, depuis « Et je me dis Bordeaux… » jusqu’à « mare de silence » • Jean-Baptiste Labat, Voyage en Italie, depuis « Nous étions près de sortir » jusqu’à « je n’en veux pas savoir davantage » ou * Desnos, Corps et biens, « Identité des images »
• *Ronsard, Le second livre des Sonnets pour Hélène, sonnet XXX, « Le soir qu’Amour vous fit… » ou Zola, La Fortune des Rougon, chapitre I, depuis « Depuis un instant, des bruits confus… » jusqu’à « jusqu’aux pierres du chemin »
• Corneille, Rodogune, Acte II, 1 ou * Malraux, L’Espoir, depuis « Les sirènes s’étaient remises à hurler » jusqu’à » T’es un Arabe, et puis ça va! »
• Diderot, La Religieuse, depuis « Au bout d’un mois on me donna… » jusqu’à « mieux que je ne puis vous la rendre » ou *Apollinaire, Alcools, « La chanson du mal-aimé », du début jusqu’à « Me rendirent si malheureux »
• Diderot, La Religieuse, depuis « Qu’on lui lève son voile » jusqu’à « et je vois bien pourquoi » ou Apollinaire, Alcools, « Mai »
• * Corneille, Rodogune, I, 5, depuis le début jusqu’à « Elle sera sa mère, et pourra tout sur lui » ou Stendhal, Le Rouge et le Noir, I, 30, depuis « Il descendit, plaça son échelle » jusqu’à « de l’empire sur son cœur »
• * Fénelon, Les Aventures de Télémaque, p.66-67, depuis « Pygmalion tourmenté » à « le fera périr » ou Senancour, Oberman, p.94-95, de « Insensiblement » à « impénétrable »
• * Rousseau, La Nouvelle Héloïse, I, lettre 14 de « Qu’as-tu fait » à « plus doux que le
mien » ou Baudelaire, Les Fleurs du Mal, « De profundis clamavi »
• Bernardin de Saint-Pierre, Paul et Virginie, p.113-114, de « Cependant depuis quelque temps » à « des hommes et des animaux » ou * Cendrars, Du monde entier, de « Déjà un bruit immense » à « Je ne pense plus à vous »
• Du Perron, « Au bord tristement doux des eaux je me retire », Anthologie de la poésie baroque, I, p.201 ou * Camus, Noces, p.33-35, de « Dans cette splendeur aride » à « dans le ciel d’été »
• Racine, Andromaque, III, 7, de « Madame demeurez » à « ou le perdre à vos yeux » ou * Chateaubriand, Mémoires d’outre-tombe, I, p.308-309, de « Une ruine indienne » à « la brièveté de la vie »
• * Racine, Bérénice, IV, 4, de « Eh bien ! Titus » à « que je puis reculer » ou Hugo, Les Misérables, II, 3, 5, de « L’obscurité est vertigineuse » à « Cette pénétration des ténèbres est inexplicablement sinistre dans un enfant »
• * Corneille, Polyeucte, IV, 2, de « Que cependant Félix » à « Ne trouvant plus aux siens leurs grâces coutumières » ou Malraux, La Condition humaine, 5e partie, 11h15, de « Révolté, il quitta la table » à « le seul moyen qu’il eût jamais trouvé de se posséder lui-même »
• Racine, Britannicus, II, 6, de « Madame, quel bonheur » à « vous dicte ce langage » ou * Nerval, Sylvie, p.48-49, de « Je suis entré au bal » à « des halliers d’épines fleuries »
• Bernardin de Saint-Pierre, Paul et Virginie, p.111, de « Vous autres Européens » à « à la volonté de Dieu » ou * Apollinaire, Alcools, « La chanson du Mal-Aimé », strophes 1 à 5.
Quelques billets proposés en 2009
Du Bellay, Les Regrets, « Palles Esprits » / *V. Hugo, Hernani, Acte IV, sc. 1, monologue de Don Carlos, « Charlemagne c’est toi » à « entrons »
*Charles d’Orléans, Rondeau 29 / Sartre, Les Mots, « Nulla dies » à « récompense » (explicit)
*La Fontaine, Fables, « L’astrologue qui se laisse tomber dans un puits » / Y. Reza, Art, scène 1.
B. Pascal, Les Pensées, « Quelque condition » à « que la prise » / *A. Césaire, Cahiers d’un retour au pays natal, « au bout du petit matin » à « fumerolles d’angoisse »
*Voltaire, Micromégas, « Le Sirien frémit » à « nous n’entendons pas » / Laforgue, Moralités légendaires, « Hamlet », « Après le ciel d’hiver » à « l’Impératif Climatérique »
P. Corneille, Rodogune, Acte IV, sc. 1 / *Céline, D’un château l’autre, «Peut-être pas encore» à « exactement le nombre »
Molière, Les Femmes Savantes, Acte IV, sc. 3, v. 1275-1307 / *J. Michelet, Histoire de la Révolution française, « Le cahier rouge », « lorsque la reine » à « on rit mais d’horreur »
*Diderot, Salons, Portrait de Mr Diderot par Mr van Loo, « Moi : j’aime Michel » à « tel que vous me voyez là » / Baudelaire, Petits poèmes en prose, « Le Mauvais Vitrier », « un matin » à « en grognant »
*Ronsard, Les Amours, IInd livre, Sur la Mort de Marie, s. 4, « Comme on voit sur la branche… » / Duras, Le Ravissement de Lol V. Stein, de « Lol, frappée d’immobilité » à « pensait-elle »
*Sorel, Histoire comique de Francion, l. III, de « Comme j’étais en cette occupation » à « de sa vie » / Verlaine, Poèmes Saturniens, « Monsieur Prudhomme »
Molière, Le Misanthrope, III, 4, de « En un lieu » à « en peine des vôtres » / *Balzac, La Cousine Bette, ch. 28,, de « En un instant » à « résolue à tromper »
*Agrippa d’Aubigné, Les Tragiques, I, « Misères », v. 97-130 / Zola, Germinal, de « Oh ! superbe ! » à « du pain ! »
Montaigne, Essais, III, 10, « De ménager sa volonté », de « La plus part » à « au moins à soymesmes » / *Desnos, Corps et Biens, « L’Ode à Coco », du début à « la lune et les étoiles »
Racine, Esther, I, 1, de « On m’élevait alors » à « posa son diadème » / *Flaubert, Bouvard et Pécuchet, de « Presque aussitôt » à « il se moquait des fruits »
Boileau, Satires, III, v. 89-118 / *Proust, Le Temps retrouvé, p. 288-289, de « Au premier mouvement » à « applaudissements »
Rabelais, Quart Livre, ch. 8, « Comment Panurge feist en mer noyer le marchant et les moutons », du début à « miserablement » / *Corbière, Les Amours Jaunes, « A une Demoiselle. Pour Piano et Chant », p. 97
*Du Bellay, Regrets, s. 91, « O beaux cheveux d’argent… » / Giono, Un Roi sans divertissement, p. 201-202, de « On avait déjà… » à « Tu peux courir ! »
*Beaumarchais Le Mariage de Figaro, II, 2 / Henri Michaux « Repos dans le malheur » dans Lointain intérieur. *Diderot, La Religieuse (folio, p. 61-62) / Aragon, « Elsa au miroir » dans La Diane française.
*Prévost, Manon Lescaut, GF, p. 188-184 / Beckett, En attendant Godot, Ed de Minuit, p. 132.
*Molière, Le Misanthrope V, dernière scène / Loti, Le Roman d’un spahi, folio, p. 113-114.
*Racine, Phèdre I, 3 (v 284-316) / Balzac, La Cousine Bette (incipit).
Ronsard, Discours des misères de ce temps, GF, p. 74-75 / *Giono, Colline, Livre de poche, p. 9-11.
Montaigne, extrait des « Coches » in Essais III / *Pierre Michon, Vies minuscules, folio, p. 13-14.
La Fontaine, Les Fables, « Le chêne et le roseau » /* Hugo, Les Misérables, Folio, t.I, p.122, de « L’onde et l’ombre » à « de la haine »
Rousseau, La Nouvelle Héloïse, GF, p.10, de « Vous, me chasser » à « implorerait vos bontés » / * Hugo, Les Contemplations, « A celle qui est restée en France », de « O générations » à « plein d’énormes fumées »
Crébillon, Les égarements du cœur et de l’esprit, GF, p.69-70, de « l’idée eu plaisir » à « je n’aimais point »/ * Baudelaire, Les Fleurs du Mal, « Paysage »
Louise Labé, Œuvres poétiques, sonnet XIV / * Chateaubriand, Mémoires d’outre-tombe, I, III, 9, t. I, Livre de Poche, p.285, de « J’associais également » à « les souffrances prient »
Racine, Bérénice, IV, 5, de « Que sais-je ? J’espérais de mourir » à « Ces jours si longs pour moi lui sembleront trop courts »/ * Malraux, La condition humaine, Le Livre de Poche, p.272-273, de « Le regard de Gisors » à « rêve d’être Dieu »
Racine, Britannicus, III, 3, de « Je vous nommerais » à « Digne de l’univers à qui vous vous devez » / * Constant, Adolphe, GF, p.63-64, de « J’aurais plongé dans cette rêverie » à « longue et honteuse »
Racine, Britannicus, II, 4, de « Il a su me toucher » à « toujours rassurée » / * Hugo, Les Contemplations, « Saturne I »
*Racine, Andromaque, III, 4, de « Où fuyez-vous » à « n’apprendra qu’à pleurer »/ Mme de Staël, Corinne, Folio, p.349-350, de « Improvisation de Corinne » à « qui déchirent son sein »
Rousseau, La Nouvelle Héloïse, GF, p.131, de « J’ai pris et quitté » à « son désespoir »/ * Musset, Lorenzaccio, III, 3, de « Tu me demandes pourquoi » à « qui il est »
Fénelon, Les Aventures de Télémaque, Folio, p.317-318, de « Télémaque s’avança vers des rois » à « Ils ne veulent plus rien » / * Chateaubriand, Mémoires d’outre-tombe, I, Le Livre de Poche, p.294-295, de « Du reste rien de mon passé » à « l’unisonance des vagues »
Corneille, Polyeucte, IV, 3, de « C’est en vain » à « et me laissez en paix » / *Nerval , Sylvie, II, de « Tout à coup, suivant les règles de la danse » à « sur la lisière des saintes demeures »
Rousseau, Les Confessions, Folio, p.288-289, de « Ici commence » à « mes malheurs » / * Lamartine, Méditations, « L’Isolement » du début à « Le soleil des vivants n’échauffe plus les morts »
Senancour, Oberman, de « Voici les premiers moments nocturnes » à « l’abîme invisible » / * Char, Les Matinaux, « La Minutieuse »
*Bossuet, Oraisons funèbres, « Oraison funèbre d’Henriette de France », de « Chrétiens que la mémoire » à « parleront d’elles-mêmes » / Verlaine, Poèmes saturniens, « Initium »
Quelques billets proposés en 2008
Quelques billets proposés en 2007
Ronsard*, Sonnets pour Hélène, I, IX, (Garnier- Flammarion p. 285) / Montherlant, La Reine morte, I, tableau II, 4 (Le Livre de Poche, p. 37- 38, de « Vous avez raison » à « selon le caprice du vent »)
Ronsard, Amours de Marie, XLII (Garnier- Flammarion, p. 206) / Ionesco*, Le Roi se meurt (Le Livre de Poche, p. 14- 16, de «Il y en a de la poussière» à «c’est tout ce qu’elle sait faire »).
Molière*, Le Misanthrope, III, 1, v. 781- 804 / Supervielle, La Fable du monde, « Dieu crée la femme » (Poésie/ Gallimard, p. 36, du début à « rien ne leur ressemble ».
Agrippa d’Aubigné*, Les Tragiques, VII, v. 663- 684 / Genet, Les Bonnes (Folio, p. 105- 106, de « Hurlez si vous voulez » à « la toilette rouge des criminelles »).
La Fontaine*, Fables, VII, « Les deux coqs », du début à « sous l’ongle du vautour » / Beckett, En attendant Godot (Minuit, p. 16- 17, de « Endroit délicieux » à « Ah ! non, là tu te goures »).
Crébillon, Les Egarements du cœur et de l’esprit (Garnier- Flammarion, p. 76, de « J’étais sur les matières du sentiment » à « comment rompre le silence ») / Apollinaire*, Alcools, « Mai ».
Hugo*, Les Contemplations, « Vieille chanson du jeune temps » ; « Elle avait pris ce pli », du début à « cousant au coin du feu »/ L’abbé Prévost, Manon Lescaut (Garnier, p. 76- 77, de « Il vint me prendre par la main » à « il a de l’esprit »).
Voltaire, Dictionnaire philosophique, article « Bornes de l’esprit humain » / Beckett*, Fin de partie (Minuit, p. 14- 15, de « A- bâillements » à « J’hésite, j’hésite à…à finir »).
Molière, Les Femmes savantes, I, 1, v. 1- 25 / Apollinaire*, Alcools, « Crépuscule ». `
Rousseau*, Les Rêveries du promeneur solitaire, cinquième promenade (de « Les rives du lac de Bienne » à « au profit du puissant ») / Claudel, Connaissance de l’Est, « Le Cocotier » (de « Il n’a point de branches » à « sa touffe énorme »).
Crébillon, Les Egarements du cœur et de l’esprit (Garnier- Flammarion, p. 69, de« J’entrai dans le monde » à « sans ressource ») / Hugo*, Les Contemplations, « Vieillechanson du jeune temps » (strophes 1- 7).
Rousseau, La Nouvelle Héloïse, 1ère partie, lettre XXIII (de « J’étais parti » à « dans desprécipices») / Saint- John Perse*, Eloges, «Pour fêter une enfance», II (Poésie/Gallimard, p. 30- 31, du début à « Et puis ces mouches…eût chanté ! »).
Corneille, Horace, IV, 5, v. 1301- 1318/ Claudel*, Cinq Grandes Odes, I, « Les Muses » (de « Rien de tout cela » à « ô Muses modératrices »).
Voltaire, Dictionnaire philosophique, articles « Abbé » (du début à « à la porte demonsieur l’abbé ») / Genet*, Les Bonnes (Folio, p. 15- 16, du début à « Je préparais letilleul de Madame », didascalies comprises).
Racine, Iphigénie, I, 1, v. 13 -34 / Leiris*, L’Age d’homme (Le Livre de Poche, p. 23, dudébut à « dans mon caractère »).
La Fontaine*, Fables, VII, « Le rat qui s’est retiré du monde » (du début à « de laRépublique attaquée » / Giraudoux, Electre, II, 9 (Le Livre de Poche, p. 175, de « Alorsvoici la fin » à « rien à faire »).
Bossuet*, Oraison funèbre d’Henriette d’Angleterre (Garnier, p. 173- 174, de « Lavoilà » à « ses malheureux restes ! ») / Claudel, Partage de Midi, I (Le Livre de Poche, p.18- 19, de « Ysé. –Midi » à Mesa.- elle ne renvoie rien d’autre »).
Voltaire*, Dictionnaire philosophique, article « Dogmes » (du début à « dont je fusfrappé »/ Proust, Du Côté de chez Swann (Folio, 235- 236, de « Mais, tandis que chacunede ces liaisons » à « de mauvaise humeur »).
Bernardin de Saint- Pierre, Paul et Virginie (Garnier- Flammarion, p. 104, de « Mais detout ce que renfermait cette enceinte » à « au- dessus du bassin de la fontaine ») /Claudel*, Connaissance de l’Est, « La Pluie » (du début à « du psaume »).
Rabelais, Gargantua, ch. XXVII (p. 108- 109, de « Ce disant, mist bas son grand habit » à « empaloyt par le fondement ») / Ionesco*, Le Roi se meurt (Le Livre de Poche, p. 107, depuis « La Garde.- Majesté, mon commandant » jusqu’à « Juliette. – On ne le dirait pas à la voir »).
Rabelais, Gargantua, LV (Garnier, p. 198, de « Au milieu de la basse cour » à « en toutesauvagine ») / Rimbaud*, Illuminations, « Aube ».
La Bruyère, Caractères, « Arrias » (Société, § 9) */ Vigny, « Le Bal » (v. 65-84, fin).
Crébillon, Les égarements…, incipit (Folio, p. 49-50/ Eluard, L’Amour la Poésie, XXVII,« Les corbeaux *
Boileau, Satires, VI, v. 31-60/ Leiris, Biffures, incipit*
La Fontaine, Fables, V, 3e/ Camus, La Chute, Folio, p. 10-12*
Diderot, Lettres à Sophie V., 23 oct. 1760*/ Schwob, Vies imaginaires (Cyril Tourneur,déb.)
Lettres portugaises I (fin)/ Jaccottet, « Soleil d’hiver »*
Sponde,«Mon dieu que je voudrais que ma main*/ Sainte-Beuve, Portraits (LaRochefoucauld
M. Scève, Délie, 99 & 100 / Stendhal, Vie de H. Brulard (mon 1er souvenir)*
Corneille, Le Cid, V, 2 (L’infante)*/ P.J. Jouve, « Gravida »
Racine, Bérénice, V, 7 (1475-1504, dénouement)*/ C. Simon, Le Tramway, p. 37-38
Lesage, Gil Blas, Avis au lecteur/* Aragon, Le Roman inachevé, p. 15-16
Cazotte, Diable amoureux, GF p. 58-59 / L.P. Fargue, Piéton de Paris, « les quais »
Saint-Simon, Mémoires, GF p. 122-123/ Char, Lettera amorosa, p. 92-93
Molière, L’Avare, II, 5 (extr.)*/ Supervielle, Gravitations, « Matin du monde »
Saint-Simon, Mémoires, GF p. 124-125/ Queneau, Les Fleurs bleues, incipit*
La Fontaine, Fables, II, 10/ Barthes, La Chambre claire, 16 (p. 66-68)
Corneille, Horace, IV, 5, v. 1301 à fin*/ Balzac, Le Bal de Sceaux (portrait d’Emilie)
Perrault, « Le Chat botté » (l’ogre)/ Musset, Confession d’un enfant…, chap. II (début)*
Prévost, Histoire d’une Grecque moderne (rencontre)/ Michaux, « Les Emanglons »(début)*
Marivaux, Paysan parvenu (scène de rencontre)/ Quignard, Petits traités, XVIII (extr.)*
Scarron, Roman comique, incipit/ M. Jacob, Cornet à dés, « Roman-feuilleton
La Bruyère, Caractères, « Ville » § 13*/ L. Guilloux, Le Sang Noir (Folio, p. 72-73)
Pascal, Pensées, « Imagination » (extr.)/ Gautier, Voyage en Espagne (Folio, p. 321*
Diderot, La Religieuse (Folio, p. 200-201)*/ Breton, Clair de terre, « Âge »
Rabelais, Gargantua, ch. 6 : « Soudain qu’il fut né… » – « …ne m’en tabustez plus l’entendement. »*/ Vigny, Les Destinées, « La Maison du berger », v. 288 – 315
Du Bellay, Antiquitez de Rome, 6 : « Telle que dans son char, la Bérécynthienne… »/ Stendhal, Le Rouge et le Noir, livre I, « Monseigneur, je vais chercher… » – « …va-t-ellebien ? »*
Ronsard, Amours de Marie, « Mignonne, levez-vous, vous êtes paresseuse… »*/ Balzac,Illusions perdues, « Elle me l’a dit… » – « …du Cabinet des Fées. »
Montaigne, Essais, Livre 3, De la diversion, « Je voyais nonchalamment la mort… » – « …il touche encore moins » / Baudelaire, Les Fleurs du Mal, « Les Bijoux », 6 premières strophes.*
La Fontaine, Fables, VII, 8, « Le Coche et la Mouche » v.1 – 28./ Proust, A l’ombre desjeunes filles en fleurs, II, « Parfois à ma fenêtre… » – « …la peinture d’Elstir. »
Molière, Le Misanthrope, II, 4 : v. 657 – 682./ Molière, Le Misanthrope, II, 4 : v. 657 – 682.*
Du Bellay, Les Regrets, 9, « France mère des arts… »/ Proust, A l’ombre des jeunes filles en fleurs, II, « Les levers de soleil… » – « …un tableau continu. »*
Diderot, Le Neveu de Rameau, « Mais, à votre compte… » – « …à chercher leur vie. »* / P. Michon, Vies minuscules, « Vie du père Foucault », « Le père Foucault n’irait pas à Paris… » – « …était interdite à mon sabir.
Beaumarchais, Le Mariage de Figaro, III, 5 « A mon tour, maintenant… » – « …Suzanne m’a trahi. »*/ Claude Simon, L’Acacia, VI, « C’était l’été… » – « …d’imprévisibles reflux. ».
Molière, Dom Juan, V, 2, « C’est ainsi qu’il faut profiter… » – « …tant pis pour vous. »/ Ph. Jaccottet, La Semaison, « Qu’est-ce qu’un lieu ?.. » – « …le reste devrait porter un autre nom. »*
Montaigne, Essais, Livre III, « Des Coches », « Bien crains-je que nous aurons… » – « …de notre monde par deçà. » / H. Michaux, L’Espace du dedans, « En pensant au phénomène de la peinture », « Du pinceau, et tant bien que mal… » – « …regardez vous dans le papier. »*
La Fontaine, Fables, VI, 21, « La Jeune Veuve », v. 1-33* / Balzac, Illusions perdues, « Vous ne connaissez personne… » – « …voilà ce que recèlent les coulisses. »
Molière, Dom Juan, IV, 4, « Ne rougissez-vous point… » – « …seriez mieux pour parler. » / Céline, Voyage au bout de la nuit, « Il m’apprit encore, ce ténébreux… » – « …de toutes ses profondeurs. »*
Rabelais, Gargantua, ch. 33, « Je (dist-il) feray doncques bâtir… » – « …jusques au fleuve du Tigre ! » / Céline, Voyage au bout de la nuit, « Autant pas se faire d’illusions… » – « …où le raisin commence à coûter cher. »*
Rabelais, Gargantua, ch. XXVII (p. 108- 109, de « Ce disant, mist bas son grand habit » à « empaloyt par le fondement ») / Ionesco*, Le Roi se meurt (Le Livre de Poche, p. 107, depuis « La Garde.- Majesté, mon commandant » jusqu’à « Juliette. – On ne le dirait pas à la voir ).
Rabelais, Gargantua, LV (Garnier, p. 198, de « Au milieu de la basse cour » à « en toute sauvagine ») / Rimbaud*, Illuminations, « Aube ».
La Bruyère, Caractères, « Arrias » (Société, § 9) */ Vigny, « Le Bal » (v. 65-84, fin).
Crébillon, Les égarements…, incipit (Folio, p. 49-50/ Eluard, L’Amour la Poésie, XXVII, « Les corbeaux » *
Boileau, Satires, VI, v. 31-60/ Leiris, Biffures, incipit*
La Fontaine, Fables, V, 3e/ Camus, La Chute, Folio, p. 10-12*
Diderot, Lettres à Sophie V., 23 oct. 1760*/ Schwob, Vies imaginaires (Cyril Tourneur,déb.)
Lettres portugaises I (fin)/ Jaccottet, « Soleil d’hiver »*
Sponde,«Mon dieu que je voudrais que ma main*/ Sainte-Beuve, Portraits (LaRochefoucauld)
M. Scève, Délie, 99 & 100 / Stendhal, Vie de H. Brulard (mon 1er souvenir*
Corneille, Le Cid, V, 2 (L’infante)*/ P.J. Jouve, « Gravida »
Racine, Bérénice, V, 7 (1475-1504, dénouement)*/ C. Simon, Le Tramway, p. 37-38
Lesage, Gil Blas, Avis au lecteur/* Aragon, Le Roman inachevé, p. 15-16Cazotte, Diable amoureux, GF p. 58-59 / L.P. Fargue, Piéton de Paris, « les quais »
Saint-Simon, Mémoires, GF p. 122-123/ Char, Lettera amorosa, p. 92-93
Molière, L’Avare, II, 5 (extr.)*/ Supervielle, Gravitations, « Matin du monde »
Saint-Simon, Mémoires, GF p. 124-125/ Queneau, Les Fleurs bleues, incipit*
La Fontaine, Fables, II, 10/ Barthes, La Chambre claire, 16 (p. 66-68)
Corneille, Horace, IV, 5, v. 1301 à fin*/ Balzac, Le Bal de Sceaux (portrait d’Emilie)
Perrault, « Le Chat botté » (l’ogre)/ Musset, Confession d’un enfant…, chap. II (début)*
Prévost, Histoire d’une Grecque moderne (rencontre)/ Michaux, « Les Emanglons » (début)*
Marivaux, Paysan parvenu (scène de rencontre)/ Quignard, Petits traités, XVIII (extr.)*
Scarron, Roman comique, incipit/ M. Jacob, Cornet à dés, « Roman-feuilleton
La Bruyère, Caractères, « Ville » § 13*/ L. Guilloux, Le Sang Noir (Folio, p. 72-73)
Pascal, Pensées, « Imagination » (extr.)/ Gautier, Voyage en Espagne (Folio, p. 321)*
Diderot, La Religieuse (Folio, p. 200-201)*/ Breton, Clair de terre, « Âge »
Diderot, Le Neveu de Rameau, « Mais, à votre compte… » – « …à chercher leur vie. »*/P. Michon, Vies minuscules, « Vie du père Foucault », « Le père Foucault n’irait pas àParis… » – « …était interdite à mon sabir.
Beaumarchais, Le Mariage de Figaro, III, 5 « A mon tour, maintenant… » – « …Suzannem’a trahi. »*/ Claude Simon, L’Acacia, VI, « C’était l’été… » – « …d’imprévisiblesreflux. ».
Molière, Dom Juan, V, 2, « C’est ainsi qu’il faut profiter… » – « …tant pis pour vous. »/Ph. Jaccottet, La Semaison, « Qu’est-ce qu’un lieu ?.. » – « …le reste devrait porter unautre nom. »*
Montaigne, Essais, Livre III, « Des Coches », « Bien crains-je que nous aurons… » -« …de notre monde par deçà. » / H. Michaux, L’Espace du dedans, « En pensant au phénomène de la peinture », « Du pinceau, et tant bien que mal… » – « …regardez vous dans le papier. »*
La Fontaine, Fables, VI, 21, « La Jeune Veuve », v. 1-33* / Balzac, Illusions perdues, « Vous ne connaissez personne… » – « …voilà ce que recèlent les coulisses. »
Molière, Dom Juan, IV, 4, « Ne rougissez-vous point… » – « …seriez mieux pour parler. » / Céline, Voyage au bout de la nuit, « Il m’apprit encore, ce ténébreux… » – « …de toutes ses profondeurs. »*
Rabelais, Gargantua, ch. 33, « Je (dist-il) feray doncques bâtir… » – « …jusques au fleuve du Tigre ! » / Céline, Voyage au bout de la nuit, « Autant pas se faire d’illusions… » – « …où le raisin commence à coûter cher. »*
Quelques billets proposés en 2006
Montaigne, Essais, III, 9, « De la vanité » : « Mais il devrait y avoir… à tes ongles. »
* Balzac, Illusions perdues (Folio, p. 51) : « Les deux poètes » : « Lucien se tenait… aussi bien que les vertus. »
* Voltaire, Candide, ch. 12 : « …j’ai vieilli… …tête la première. »
P. Claudel, Tête d’or, du début à « …que je fais ! »
Molière, Tartuffe, II, 4, v. 683 – 720.
* G. Flaubert, Salammbô, du début à « …le visage d’Hamilcar. »
* Rabelais, Gargantua, ch. 21 : « Et me disait maître Tusbal… …avant coureurs de vin. »
S. Beckett, En attendant Godot (p. 41) : « Estragon – Bagages !.. » …Pozzo – …Il faudrait les tuer. »
* Mme de La Fayette, La Princesse de Clèves : « Mme de Clèves acheva de danser… sans jamais l’avoir vu. »
Apollinaire, Il y a, « La Cueillette ».
* J.-J. Rousseau, Confessions, Livre 2 : « Je ne voyais pas un château… j’en manquais. »
H. Michaux, L’Espace du dedans, p. 155-156, « Chez les Hacs », du début à « …cordialement. »
Rabelais, Gargantua, ch. 33 : « Là présent était un vieux… si me suive. »
* H. Michaux, L’Espace du dedans, p. 149, « Icebergs ».
Montaigne, Essais, III, 2, « Du repentir » : « Les autres forment… …l’humaine condition. »
* J. Anouilh, Antigone : « Ismène – Ils nous hueront… Antigone – Sers-toi de ces prétextes. » (Table ronde p. 28-30)
Ronsard, Les Amours de Marie : « Comme on voit sur la branche… »
* J.-P. Sartre, Les Mots (Folio, p. 72-74) : « Ma vérité, mon caractère… … …de sa barbe. »
Molière, Le Misanthrope, II, 4 v. 623-649 : « Mais le jeune Cléon… »
* A. Malraux, L’Espoir, «L’Espoir», ch. 1 (Folio, p. 522): «Le tunnel enveloppait Attignies… …debout sur des rochers. »
Beaumarchais, Le Mariage de Figaro, I, 1 : du début à « …en me donnant leçon. »
* Ch. Baudelaire, Les Fleurs du Mal, LXXVII, « Je suis comme le roi… »
* La Fontaine, Fables, I, 16, « La Mort et le Bûcheron ».
M. Tournier, Vendredi ou les limbes du Pacifique (Folio, p. 245-246) : « En tournant un peu la tête… …et de ruines ! »
* Molière, Don Juan, II, 1 : « Aga guien, Charlotte… …Queuque gniais !.»
Rimbaud, Poésies : « Voyelles ».
* La Fontaine, Fables, VIII, 10, « L’Ours et l’amateur des jardins » : du début à « …dissimuler sa peur. »
P. Claudel, Tête d’or (Folio, p. 31-32): « Ô arbre, accueille-moi… unique et droit. »
Montaigne, Essais, III, 10 « de mesnager sa volonté » : « La plus part de nos vacations… à soy même. »
* S. Beckett, En attendant Godot (p. 111) : « Vladimir – Ne perdons pas notre temps… Estragon – …le demeurent. »
* J.-J. Rousseau, Confessions, Livre 2 : « Craignant donc… mener au paradis. »
H. Michaux, L’Espace du dedans, « Les Emanglons… », p. 171 : « Sans motif apparent… l’envahissement subi. »
C. Marot, Épitres, « Au roi pour le délivrer de prison », « Mais pour en venir au point… d’y aller ».
G. de Maupassant, Une vie, ch. 6 : « La flamme de la cheminée… qu’aucun raisonnement ne pénètre ».
* La Fontaine, Fables, II, 14, « Le Lièvre et les Grenouilles ».
G. de Maupassant, Une vie, ch. 4 : « Elle se sentit… c’est cela ! c’est cela ! ».
Ronsard, Poésies pour Hélène, « Quand vous serez bien vieille… ».
* Balzac, Illusions perdues, (Folio, p. 81) : « Elle souleva l’un après l’autre… d’une torpeur extatique ».
Rabelais, Gargantua, ch. 27 : « En l’abbaye était pour lors… poinct de saison. »
A. Gide, Si le grain ne meurt, (Folio, p. 26) : « Au son des instruments… que je cédais la place ».
* Beaumarchais, Le Mariage de Figaro, II, 21, du début à « par la fenêtre ».
H. Michaux, L’Espace du dedans, p. 249, « Clown ».
Molière, Don Juan, IV, 4 : « …Ah ! Quelle bassesse… vivant comme vous. ».
* Rimbaud, Illuminations, « Aube ».
* Beaumarchais, Le Mariage de Figaro, I, 7 : « Laisse, ah !… Quelle frayeur ! ».
M. Tournier, Vendredi ou les limbes du Pacifique, (Folio, p. 68) : « Il me vient des doutes… dans une pénombre indifférente ».
* Molière, Le Misanthrope, IV, 3 : v. 1409-1434 : « Allez, de tels soupçons… ».
Rimbaud, Poésies, « Bateau ivre », les sept premières strophes.
Voltaire, Candide, ch. 30 : « …sa femme devenait tous les jours plus laide… dit Candide ».
* Ch. Baudelaire, Les Fleurs du Mal, XVII, « La Beauté ».
* Voltaire, Candide, ch. 1, du début à « …de son caractère. »
J. Anouilh, Antigone, « Le Chœur – …C’est propre la tragédie… [Antigone, poussée par les gardes] » (La Table Ronde), p. 57.
* Montesquieu, Lettres persanes, Lettre XIV, de « À Dieu ne plaise… », à la fin. A. Malraux, La Condition humaine, (Folio, p. 228-229) : « Il pensa à l’une des idées… tout homme rêve d’être dieu ».
* Montesquieu, Lettres persanes, Lettre XXVIII, du début à « …et vont jouer dans un autre ».
Alain-Fournier, Le Grand Meaulnes, 2ème partie, ch. 7 : « Enfin glissa lentement… les cris d’effroi des femmes ».
* Bernardin de Saint-Pierre, Paul & Virginie GF, p. 159 : (le naufrage).
J.-P. Sartre, Les Mouches, III, 1.
* Beaumarchais, Le Barbier de Séville, I, 3.
A. Camus, La Peste, Folio, p. 21-22.
* La Fontaine, Fables : « Le Satyre et le Paysan »
S. Beckett, Fin de Partie, Éd. de Minuit, p. 108-109.
H. d’Urfé, L’Astrée, I, 1, Folio, p. 35-36.
* Rimbaud, Poésies : « Tête de faune »
La Fontaine, Les Amours de Psyché, Livre de Poche, p. 115-116.
* Michelet, La Sorcière, GF, p. 65-66.
J.-J. Rousseau, Confessions, Folio, p. 125.
* G. Perec, La Vie mode d’emploi, I, 1 (incipit)
P. Corneille, L’Illusion comique, III, 6
* A. Cohen, Belle du Seigneur, Folio, p. 55-56 (A. Deume).
* La Bruyère, Les Caractères, « De la Cour », § 22 et 23.
J.-P. Sartre, Les Mots, Folio, p. 107.
Molière, Dom Juan, III, 5.
* A. Gide, Paludes, Folio (incipit).
Voltaire, Les Lettres philosophiques, 18, § 1.
* J. Genet, Les Paravents, tableau 13 (extr.).
* Cyrano de Bergerac, L’Autre monde, GF, p. 32.
Ch. Baudelaire, Les Fleurs du mal, « La musique ».
A. d’Aubigné, Les Tragiques, « Misères », v. 292-318.
* Maupassant, Le Horlà, Folio, p. 290.
* Ch. Perrault, Le Petit Chaperon rouge, Classiques Garnier, p. 114-115.
Musset, Lorenzaccio, IV, 9 (extr.).
Furetière, Le Roman bourgeois, Folio, p. 33.
* A. Bertrand, Gaspard de la Nuit : « Le Clair de lune ».
* Rabelais, Tiers-Livre, IX (la Sibylle). J.-P. Sartre, Huis-Clos, I, 1.
* J.-J. Rousseau, Lettre à d’Alembert (sur Molière).
R. Char, Les Matinaux : « Qu’il vive ! ».
* Molière, Le Misanthrope, V, 4 (fin).
P. Quignard, Petits traités, Folio, t. I, p. 449-50.
La Bruyère, « Des grands », § 48 : Théognis.
* Ch. Baudelaire, Les Fleurs du mal : « Le Mort joyeux ».
Voltaire, Lettres philosophiques, 25 : sur Pascal (début).
* Saint-John Perse, Vents, 1.
* La Fontaine, Fables, III, 13 : « Loups et brebis ».
Rimbaud, Illuminations : « Conte ».
* Abbé Prévost, Manon Lescaut (la rencontre)
Aragon, Les Poètes : « Feux de Paris »
Crébillon, Les Égarements du cœur et de l’esprit, GF, p. 71-72.
* M. Leiris, Biffures, p. 9-10.
Pascal, Pensées, « Imagination ».
* P. Michon, Vies minuscules, p. 33-34.
* Cardinal de Retz, Mémoires, portrait de La Rochefoucauld.
Céline, D’Un Château l’autre (Siegmaringen)
T. L’Hermite, Le Page disgracié, VI, Folio, p. 33-34.
* A. Allais, À se tordre, « Le pendu bienveillant ».
* Racine, Bérénice, IV, 5, v. 1103-1130.
J. Genet, Journal du Voleur, Folio, p. 29-30.
* Mme de Sévigné, Lettres, GF, p. 95-96.
Flaubert, Bouvard et Pécuchet, incipit.
Pascal, Discours sur les Grands, 1.
* Michaux, L’Espace du dedans, « Magie » I.
Molière, Précieuses ridicules, 4 (Madelon).
* G. Perec, Quel petit vélo… (début).
La Fontaine, Vie d’Ésope (entrevue avec Crésus).
* J. Giono, Un roi sans divertissement, Folio, p. 15-16.
Montaigne, Essais I, 1 (début).
* B. Constant, Adolphe (rencontre).
* J.-J. Rousseau, Confessions, 1 (premières lectures).
Proust, Sodome et Gomorrhe (Charlus et Jupien).
* Diderot, Lettres à S. Volland, Folio, p. 148-149.
Sainte-Beuve, Portrait : Mme de La Fayette, Folio.
Saint-Real, Dom Carlos, fin, GF, p. 198-199.
* Ch. Baudelaire, Poèmes en prose : « Confiteor… ».
La Rochefoucauld, Portrait : Mme de Montespan.
* A. Daudet, Sapho, GF, p. 27-28.
Mlle de Scudéry, Portrait de La Rochefoucauld.
* Musset, Confessions, II (début).
* Ch. Perrault, Le Petit Poucet (fin).
R. Barthes, La Chambre claire, p. 107-109.
Corneille, Le Cid, I, 2 (l’Infante).
* Balzac, La Peau de chagrin, début.
Guilleragues, Lettres portugaises, 1 (début).
* J.-P. Sartre, Les Mots (premières lectures).
D’Aubigné, Les Tragiques, 1, v. 55-83.
* Aragon, Aurélien (incipit).
* La Fontaine, Fables, IX, 2, « Les deux pigeons ».
Mérimée, Les Ames du Purgatoire, GF, p. 91-92.
Marivaux, Le Paysan parvenu, Garnier, p.142-143.
* Verlaine, Fêtes galantes, « À Clymène ».
Saint-Simon, Mémoires, Folio, p. 437-38.
* Baudelaire, Les Fleurs du Mal, XXVIII, « Avec ses vêtements… »
Corneille, Polyeucte, IV, 3 v. 1235-1256.
* Verlaine, Romances sans paroles, « Bruxelles, Chevaux de bois ».
D’Aubigné, Les Tragiques, V, v. 53-74.
* Proust, Le Côté de Guermantes, Pléiade, p. 552-553.
Molière, Dom Juan, I, 1.
* A. France, Les Dieux ont soif, Folio, p. 44-45.
* Boileau, Art poétique, III, v. 160-175.
Mérimée, Carmen, ch. III (rencontre de Carmen et don José).
* Rabelais, Gargantua, ch. XIX (harangue de Janotus).
Nerval, Les Chimères, « Myrtho ».
Pascal, Pensées, 131 (éd. Lafuma).
* Baudelaire, Les Fleurs du Mal, CXVIII « La Fontaine de sang »
D’Aubigné, Les Tragiques, I, v. 73-96.
* Flaubert, Mme Bovary, I, 6.
* La Fontaine, Fables, VII, 12, « Les deux coqs ».
Balzac, La Peau de chagrin, GF, p. 78.
* Marivaux, L’Ile des esclaves, I, 1.
Mauriac, Génitrix, Livre de Poche, p. 7-8.
* Th. de Viau, Œuvres poétiques, « Quand tu me vois baiser tes bras… »
Hugo, Quatre-vingt-treize, « En Vendée », V, 1.
Ronsard, Les Amours, « Vous triomphez de moi… ».
* Yourcenar, L’ Œuvre au noir, Folio, p. 24.
* Laclos, Les Liaisons dangereuses, lettre CLII.
Chateaubriand, Mémoires d’Outre-Tombe, IV, Poche p. 645-646.
Villon, Testament, « Ballade des dames du temps jadis ».
* Queneau, Les Fleurs bleues, Folio, p. 13-14.
* Voltaire, L’Ingénu, ch. 1 (début).
Hugo, Les Contemplations, IV, 16 (« Mors »).
Pascal, Pensées, 44 (éd. Lafuma).
* Apollinaire, Alcools, « La Tzigane ».
* Abbé Prévost, Manon Lescaut, Garnier, p. 24-25.
Apollinaire, Alcools, « Les Colchiques ».
* Tristan L’Hermite, Poésies, « La belle esclave More » (Anthologie poésie baroque, p. 412)
Bernanos, Sous le soleil de Satan, Pocket, p. 19-20.
Racine, Britannicus, II, 2.
* Gautier, España, « Le Pin des Landes », Folio, p. 457.
* Mme de La Fayette, La Princesse de Clèves, Garnier, p. 394-395.
Hugo, Les Contemplations, « Écrit en 1855 »
Marbeuf, « Et la mer et l’amour ».
* Flaubert, Mme Bovary , Livre de Poche, p. 369-371.
* Cazotte, Le Diable amoureux, GF, p. 117-118.
Baudelaire, Les Fleurs du Mal, « Le Mort joyeux »
Ronsard, Les Amours, LX, « Comme un chevreuil… ».
* Cendrars, La Main coupée, Folio, p. 431-432.
Mme de La Fayette, La Princesse de Clèves, Garnier, p. 277-278.
* Camus, Caligula, I, 4.
– La Bruyère, Les Caractères, « De la mode », § 24.
* Bernanos, Dialogues des carmélites, II, 8.
M. Régnier, Satire XIII, v. 1-18.
* Huysmans, À vau-l’eau, chap. III (Folantin à la représentation de Richard Cœur de Lion).
Montesquieu, Lettres persanes, CLXI.
* Éluard, Le Temps déborde, « La Puissance de l’espoir »
* Pascal, Pensées, 978 (éd. Lafuma) « Amour-propre » (début).
Camus, L’Étranger, Gallimard, p. 87-88.
Boileau, Art poétique, II, v. 1-28.
* Ionesco, La Cantatrice chauve, scène 1 (début).
Corneille, La Mort de Pompée, IV, 3, v. 1241-1266.
* Verlaine, Jadis et Naguère, « Les Vaincus », IV.
Quelques billets proposés en 2005
* Mme de Sévigné, Le mariage de «Mademoiselle», lettre du 15 déc. 1670 (Pléiade, I, p.139, ou GF, p. 65).
ou
Proust, Sodome et Gomorrhe, II, Folio, p. 64-65 (M. de Vaugoubert et Charlus chez les Guermantes)
Montaigne, Essais, III, 13, de « Les autres sentent… » à « …prudent et juste. »
ou
* Anouilh, Antigone, Le Chœur, de « C’est minutieux… » à « …rien à tenter enfin ! »
* Rabelais, Tiers-Livre, chapitre XXXVI, de « Vous dictez d’orgues… » à « …Ce que vouldrez. »
ou
Gracq, Les Eaux étroites, « Pourquoi le sentiment… » à « … d’une famille encore à venir. »
Racine, Iphigénie, acte II, scène 5.
ou
* Benjamin Constant, Adolphe, « Lettre de l’inconnu à l’éditeur ».
* Molière, Le Misanthrope, acte V, scène 4.
ou
Roland Barthes, La Chambre claire, Gallimard/Seuil, p. 107-109 (la photographie du Jardin d’hiver).
Rabelais, Gargantua, chap. XXVII, de « Ce disant… » à « …cela s’entend
ou
* Flaubert, L’Éducation sentimentale, IIIe partie, I, de «Tout à coup, La Marseillaise… » à « …et brûlé ».
Rousseau, Lettre à d’Alembert, GF, p. 104-106 (sur Le Misanthrope).
ou
*Alphonse Allais, À se tordre, « Le bon peintre », GF.
*Cardinal de Retz, portrait de La Rochefoucauld, in La Rochefoucauld, Maximes, mémoires, œuvres diverses, Pochothèque, p. 789.
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Baudelaire, Les Fleurs du mal, « Obsession ».
*Saint-Simon, Le bassin aux carpes [1708], Mémoires, GF, p. 123.
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Michaux, L’Espace du dedans : Un certain Plume, « Un homme paisible ».
Marivaux, Le Spectateur français, feuille I (fin), Classiques Garnier, p. 174-175.
ou
* Beckett, Fin de Partie, Minuit, p. 16-18.
* La Fontaine, Fables, « Parole de Socrate ».
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Jules Verne, Paris au XXe siècle, « Que désirez-vous, Monsieur… » à « …méconnues, inconnues » (Poche, p. 51-52).
La Fontaine, Fables, livre VIII, fable 10, « L’Ours et L’Amateur de Jardins », du début à « … dans mon livre ».
ou
* Chateaubriand, Mémoires d’outre-tombe, t. IV, de « Je fus obligé d’accepter… » à « … et de la geôle » (Poche, p. 449).
* Boileau, Art poétique, chant III, v. 245-260.
ou
Jules Verne, Voyage au centre de la terre, « À cette question… » à « … par la barque à vapeur » (Poche, p. 21-22).
Abbé Prévost, Manon Lescaut, de « Elle me parut… » à « … sur ma réponse » (Classiques Garnier, p. 19-20).
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* Gautier, España, « À Madrid » (Folio, p. 469-470).
Racine, Andromaque, acte IV, scène 5, « Je n’ai t’ai point aimé… » à « …y trouver Hermione » (GF, p. 216).
ou
* Chateaubriand, Atala, de « Atala était couchée… » à « … « l’amertume du cœur » (Poche, p. 155-156).
Ronsard, Amours de Marie, II, II, IV, « Comme on voit sur la branche… » (Poésie/Gallimard, p. 250).
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* Camus, La Peste, de « Elle sifflait doucement… » à « … et de la peste » (Folio, p. 231-232).
* Saint-Amant, « L »Hyver des Alpes », in Anthologie de la poésie baroque, t. I, A. Colin, p. 131.
ou
Chateaubriand, Mémoires d’outre-tombe, t. III, de « J’écris cette page… » à « … autour d’un bâton » (Poche, p. 172-173).
Ronsard, Sonnets pour Hélène, II, XXVII, (Poésie/Gallimard, p. 328).
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* Giono, Le Hussard sur le toit, de « Il courut vers la maison… » à « … charnières pourries » (Folio, p. 49-50).
* Pascal, De l’art de persuader, de « En toutes ces rencontres… » à « … que par raison » (Intégrale/Seuil, p. 355-356).
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Gautier, España, « Ribera », du début à « la caducité » (Folio, p. 471-472).
Perrault, Belle au Bois dormant (l’arrivée du prince charmant).
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* Robert Antelme, L’Espèce humaine, Gallimard, « Tel », p. 317-318.
Marot, Épitres, « Au roi, pour le délivrer de prison », de « Roi des François… » à « …toute chose est grippée. »
ou
* Balzac, Illusions perdues, « Un grand homme de province… », de « C’était horrible et gai… » à « …l’innocent ! »
Quelques billets proposés en 2004
* Furetière, Le Roman bourgeois, de « Certainement… » à « galanterie. » (Gallimard, « Folio », p. 33).
Robbe-Grillet, Le Miroir qui revient, de « Si j’ai bonne mémoire… » à « vieille maison. » (éd. de Minuit, p. 7-8).
Sponde, Sonnets de la mort, XI, « Qui sont, qui sont ceux-là… »
* Mérimée, Chronique du règne de Charles IX, chap. VIII, de « Hélas ! monsieur le lecteur… » à « ni rien de semblable. » (Gallimard, « Folio », p. 133-134).
Guillerargues, Lettres portugaises, Lettre I, de « Considère… » à « vainement. » (GF, p. 71).
* Sand, Histoire de ma vie, de « Ensuite il me prit fantaisie… » à « le héros se fit prêtre. » (GF, p. 585).
* Corneille, Médée, acte IV, sc. 1, de « Le charme est achevé… » à « mon divorce. » (éd. Garnier, t. I, p. 466).
Apollinaire, Alcools, « Cors de chasse ».
Montaigne, Essais, I, VIII « De l’oisiveté », en entier (GF, p. 69-70)
* Stendhal, La Chartreuse de Parme, de « L’aide de camp prit le cheval de Fabrice… » à « entouré de vils fripons. » (éd. Garnier, p. 54-55).
Pascal, Pensées, fr. 391 (GF, p. 144)
* Chateaubriand, Atala, de «Nous passâmes sous l’arche…» à «une fête éternelle. » (Livre de Poche, éd. J.-Cl. Berchet, p. 135-136).
Beaumarchais, Le Barbier de Séville, acte II, sc. 8, de « J’étais sorti pour vos affaires… » à « qui diable y résisterait ? » (éd. garnier, p. 67-68).
* Chateaubriand, Mémoires d’outre-tombe, de «Les orateurs, unis pour détruire… » à « de grands révolutionnaires. » (Livre de Poche, t. I, éd. J.-Cl. Berchet, p. 559-560).
* Du Bellay, Les Regrets, XLI, « N’estant de mes ennuis… » (GF, p. 80-81).
Balzac, Le Père Goriot, de « Cette pièce est dans son lustre… » à « ce spectacle est complet. » (GF, p. 30).
Saint-Simon, Mémoires (1714-1715), de « Il excellait en basses intrigues… » à « à ses vengeances. » (éd. Ramsay, p. 157-158).
* Flaubert, Madame Bovary, IIe partie, chap. XV, de « Dès la première scène… » à « des derniers accords. » (Le Livre de Poche, p. 343).
Ronsard, Les Amours, LX, « Comme un chevreuil… ».
* Proust, A l’ombre des jeunes filles en fleur, de « Je tournai la tête… » à « pour attirer son attention. » (Gallimard, Bibliothèque de la Pléiade, t. I, p. 751-752).
Corneille, Cinna, acte V, sc. 1, v. 1435-1460.
* Zola, L’Assommoir, chap. III, de « M. Madinier… » à « C’était tapé ! » (GF, p. 101-102).
Pascal, Pensées, fr. 81, de « Qui dispense la réputation ?… » à « et à tout sens ! » (GF, p. 59-60).
* Cendrars, La Main coupée, de « Mais le cri le plus affreux… » à « présenté des mamelles ? » (Gallimard, « Folio », p. 431-432).
Beaumarchais, Le Mariage de Figaro, acte I, sc. 2.
* Baudelaire, Petits poèmes en prose, « Le Port ».
Molière, Le Misanthrope, acte III, sc. 1, v. 781 à 804.
* Michel Leiris, Biffures, de « Il y a un moment de ma vie… » à « ses deux autre fils. » (Gallimard, « L’Imaginaire », p. 206-207).
Du Bellay, Regrets, XXXII, « Je me ferai savant… ».
* Céline, Voyage au bout de la nuit, du début à « avides et cornards. » (Gallimard, « Folio », p. 184).
* La Fontaine, Fables, VIII, 15, « Le Rat et l’Éléphant ».
Sartre, Les Mots, de « Il n’y a pas de bon père… » à « du peu que je sais de lui. » (Gallimard, « Folio », p. 19).
La Fontaine, Fables, XII, 4, « Les Deux Chèvres ».
* Proust, Le Temps retrouvé, de « La ville semblait… » à « peignoir de bain etc. » (Gallimard, « Folio », p. 90-91).
* La Rochefoucauld, Maximes et réflexions diverses (éd. Garnier, p. 60-61).
Céline, Nord, de « Et je vous raconte pas le Casino !… » à « digérantes… » (Gallimard, « Folio », p. 18-20).
Rousseau, Confessions, livre IV, de « Je me souviens même… » à « qui me restaient encore. » (GF, p. 205-206).
* Michaux, L’Espace du dedans, de « Sans motifs apparents… » à
« l’envahissement subi. » (Gallimard, « Poésies », p. 171).
* La Fontaine, Fables, VII, 13, « Les Deux Coqs ».
Flaubert, L’Éducation sentimentale, du début jusqu’à « poussa un long soupir. »
* Leiris, Biffures, de « Hindustan… » à « ardeur commune. » (Gallimard, p. 257).
Du Bellay, Regrets, LXXXVI, « Marcher d’un grave pas… »
Montesquieu, Dialogue de Sylla et d’Eucrate, de « Eucrate, me dit-il… » à « trop cher à tous les autres. » (Seuil, « L’Intégrale », p. 157-158).
* Mallarmé, Poésies, « Petit Air II ».
Ronsard, Sonnet posthume, « Il faut laisser… ».
* Jouhandeau, Mémorial, t. I, de « La mémoire tient registre… » à « caché, latent, invisible. » (Gallimard, p. 12-13).
Mme du Deffand, lettre à Julie de Lespinasse su 9 mai 1764 (Épistoliers du XVIIIe siècle, Larousse, p. 21).
* Ionesco, Le Roi se meurt, de « C’était l’être le plus poli… » jusqu’à la fin de la page (Gallimard, « Folio », p. 111).
Cardinal de Retz, Mémoires, de « Mme de Chevreuse … » à « amant. » (Gallimard, Bibliothèque de la Pléiade, p. 156-157).
* Proust, A l’ombre des jeunes filles en fleurs, « Et elle nous faisait entrer… » à « vingt-quatre heures. » (Gallimard, « Folio », p. 77-78).
Saint-Simon, Mémoires (Gallimard, « Folio », p. 150).
* Aragon Le Roman inachevé, « Le long pour l’un pour l’autre est court » (Gallimard, « Poésies », p. 124-125).
Du Bellay, Les Regrets, sonnet V.
* Balzac, Le Père Goriot, de « Pour un jeune homme… » à « le bal. » (GF, p. 174).
* Montaigne , Essais, III, 8, de « Je festoie… » à « qui me craignent. » (PUF, éd. Villey, p. 924-925).
Desnos, Corps et biens, « Infinitif ».
Du Bellay, Les Regrets, sonnet X.
* Chateaubriand, Mémoires d’outre-tombe, de « En retournant… » à « parmi les gerbes. » (Le Livre de poche, t. 3, p. 518-519).
Senancour, Oberman, Lettre 75, du début jusqu’à « muet ».
* Leiris, Biffures, de « Autrefois… » à « mes occupations de toute une journée. » (Gallimard, p. 22-23).
Cardinal de Retz, Mémoires, de « Il y a toujours eu… » à « d’apologue. », (Gallimard, Bibliothèque de la Pléiade, p. 155).
* Aragon, Le Paysan de Paris, de « L’esprit… » jusqu’à la fin du chapitre (Gallimard, « Folio », p. 135-136).
* Rousseau, Les Confessions, Livre IX, de « Que fis-je… » à « sous les solives d’un plancher. » (éd. Garnier, p. 506-507).
Pierre Michon Vies minuscules, de « Les Bakroot… » à « c’était fini. » (Gallimard, « Folio », p. 135).
* Rousseau, Émile, de « La prévoyance… » à « si loin d’eux-mêmes ? » (éd. Garnier, p. 66-67).
Desnos, Corps et biens, « J’ai tant rêvé de toi… ».
* Racine, Phèdre, acte II, sc. 5, de « Oui, prince… » à « retrouvée, ou perdue. » (GF, p. 221-222).
Verlaine , Amour, « Il patinait merveilleusement ».
La Ceppède, Les Théorèmes spirituels, III, 70, « Voici l’homme… »
* Barbey d’Aurevilly, Les Diaboliques, « La Vengeance d’une femme », de « Je n’essaierai pas de vous… » à « cette hauteur immaculée ? » (GF, p. 301).
La Fontaine, IX, 2, « Les Deux Pigeons », de « Amants, heureux amants… » jusqu’à la fin.
* Leiris, Biffures, de « Ici encore… » à « ouragan. » (Gallimard, p. 60-61).
Quelques billets proposés en 2003
* Molière, L’École des femmes, acte III, scène 1, v. 694-715 (« Le mariage, Agnès… il veut lui faire grâce. »).
Balzac, La Peau de chagrin, « Le Talisman », du début de l’ouvrage à « … un costume de joueur. »
* Ronsard, Les Amours, LX, « Comme un chevreuil… » (Garnier, p. 39)
Mauriac, Génitrix, chap. I; du début du roman à «…un froissement de branches. » (Le Livre de Poche, p. 7-8).
Montesquieu, Les Lettres persanes, Lettre XLVIII (Usbek à Rhédi), « Et ce gros homme… il est excellent. »
* Verlaine, Romances sans paroles, « Ariettes oubliées », II (« Je devine, à travers un murmure… »).
* Racine, Andromaque, acte IV, scène 5, v. 1309-v. 1340 (« Seigneur, dans cet aveu… à ces généreux coups ? »).
Apollinaire, Alcools, « La Tzigane ».
Marivaux, L’Ile des esclaves, acte I, scène 1, du début de la scène à « cela est juste. ».
* Chateaubriand, Les Natchez, Seconde partie, «Si enfin, Céluta… et de l’infortune. » (Livre de Poche classique, p. 415-416).
Auvray, « En extase je tombe… », « Toute sa face estoit de crachats enlaidie… ou vif et mort ensemble… », in Anthologie de la poésie baroque, éd. Jean Rousset.
* Stendhal, La Chartreuse de Parme, Première partie, chap. II, « Le Lac de Côme… hâte-toi de jouir. ».
Rabelais, Tiers Livre, chap. IV, de « A ce patron figurez… » à « … dedans leurs fourneaulx » (Seuil/L’Intégrale, p. 387-388).
* Bernanos, Dialogues des carmélites, troisième tableau, scène 1, « Alors, dans mon idée… » à « … les uns à la place des autres, qui sait ? » (Points/Seuil, p. 57).
La Fontaine, Fables, livre IX, 3 « Les Deux Pigeons », du v. 65 (« Amants, heureux amants… ») jusqu’à la fin.
* Flaubert, L’Education sentimentale, troisième partie, chap. I, « Ce soir-là, ils dînèrent… le grincement de la chaîne. » (Seuil/L’Intégrale, t. II, éd. p. 127).
Mathurin Régnier, Satires, XIII (« Macette »), du début au v. 28 (« …des pères Récollets »).
* Chateaubriand, Atala, « Epilogue », de « Nous arrivâmes au bord de la cataracte… » à « des élans et des ours. ».
Sigogne, « Seiche piece de bois… », de ces mots à « Au travers d’une corne on voit une chandelle ! », in Anthologie de la poésie baroque (« Le Spectacle de la mort »), éd. Jean Rousset.
* Hugo, Hermani, acte I, scène 1, du début, didascalies comprises, à « Que je meure ! » (v. 16).
* Corneille, Cinna, acte V, scène 1, v. 1446-1476 (« Je ne m’en suis vengé… et veux m’assassiner »).
Flaubert, Madame Bovary, Deuxième partie, chap. XV, de « Dès la première scène, il enthousiasma… » à « …des derniers accords. ».
* Racine, Phèdre, acte IV, scène 5, v. 1193-1213 (« Il sort… du soin de le défendre ? »).
Éluard, Le Temps déborde, « La puissance de l’espoir ».
Laclos, Les Liaisons dangereuses, Lettre IV, du début à « …vous désobéir ».
* Ponge, Le Parti pris des choses, « L’Huître ».
Pascal, Pensées, fr. 418 de « S’il y a un Dieu, il est… » à « …qu’il est sans hésiter » (Seuil/L’Intégrale, p. 550).
* Musset, Lorenzaccio, acte II, scène 2, « Les nations paisibles et heureuses ont quelquefois brillé… peut t’assommer sans qu’on y trouve à redire ? » (Pléiade, p. 91-93).
Du Bellay, Les Regrets, VI, « Là où est maintenant ce mespris de Fortune ? »
* Valéry, Degas danse dessin, du début à « …craint les plus courts chemins » (in Œuvres, t . II, Pléiade, p. 1163-1164).
* Marivaux, L’École des mères, scène XVIII, du début jusqu’à « Et voyez si je puis résister à tout cela ».
Flaubert, L’Éducation sentimentale, chapitre 4, « Les rues étaient désertes… et l’avenir infaillible » (G.F., p. 38-39).
La Rochefoucauld, Maximes supprimées n°1, « L’amour propre est l’amour de soi-même… tous les goûts qu’il a rassasiés ».
* Ponge, Pièces, « L’appareil du téléphone. (Autre) » (Poésie/Gallimard, p. 57).
* Bossuet, « Sermon sur la mort », « Cette recrue continuelle du genre humain… Nous tomberons tout à coup, manque de soutien » (Hachette, p. 293-294).
Michaux, L’Espace du dedans, « Contre ! » (Poésie/Gallimard, p. 147).
Racine, Phèdre, acte II, scène V, v. 683-704.
* Huysmans, Là-Bas, « Et il frissonna… çà et là, d’échardes. » (G.F., p. 33).
Du Bellay, Les Regrets, sonnet 87.
* Proust, A l’ombre des jeunes filles en fleurs, «Combien de fois à Paris… leur canevas de ses couleurs » (Folio, p. 275).
Les Lettres Portugaises, « Hélas … » jusqu’à la fin (G.F., p. 73).
* Victor Hugo, Les Contemplations, « O gouffre… ».
Racine, Bajazet, acte V, scène 5, « Moi-même avec ardeur… Cours, Zatime, sois prompte à servir ma colère ».
* Michaux, L’espace du dedans, « Repos dans le malheur ».
Racine, Bérénice, acte I, scène 4, « Je me suis tu cinq ans … où mon cœur vous avait adorée ».
* Balzac, La Peau de chagrin, « En touchant une mosaïque… les yeux d’un paladin » (G.F., p. 74).
* Rousseau, Les Confessions, livre III, « Un soir du mois de février qu’il faisait bien froid… parlement » (Seuil/L’Intégrale, p. 167).
Breton, « Le verbe être », Clair de terre, du début jusqu’à « qui m’enchante » (Poésie/Gallimard, p. 120).
* Montesquieu, Les Lettres persanes, dernière lettre.
Claude Simon, Les Géorgiques, « Et cette morte… des restes » (Minuit, p. 380- 381).
Mme de Lafayette, La Princesse de Clèves, « On ne peut exprimer… sans se faire voir » (G.F., p. 155).
* Chateaubriand, Mémoires d’outre-tombe, « La rêverie au Lido » : du début jusqu’à « enseveli » (Pléiade, t. II, p. 1031).
* Abbé Prévost, Manon Lescaut, jusqu’à « offrir » (Garnier, p. 61-62). Michel Leiris, Frêle bruit (Gallimard/Tel, p. 225).
Cardinal de Retz, Mémoires, « La vérité… capitan » (Pléiade, p. 87).
* Verlaine, Fêtes galantes, « A la promenade »
* Montesquieu, Les Lettres persanes, lettres 153-154-155.
Breton, Nadja (Folio, p. 19-20.
Les Lettres portugaises, « Que j’aurais de plaisir… mes divers mouvements » (G.F., p. 94-95).
*Zola, La Curée, « Mais un des charmes… haleine âcre et forte » (Folio, p. 78).
* Voltaire, Dictionnaire philosophique, « Abbé » Apollinaire, Alcools, « Mai ».
Molière, Dom Juan, acte III, scène 1, « Qu’est-ce donc que vous croyez ?… qui a le nez cassé ».
* Saint-John Perse, Amers, « Poésie pour accompagner la marche d’une récitation en l’honneur de la mer ».
* Marivaux, La Double Inconstance, du début jusqu’à « un enfant le verrait et vous ne le voyez pas ».
Beckett, Compagnie, incipit.
Mme de Sévigné, lettre du 3 mars 1671 à Mme de Grignan, « Je vous assure, ma chère… je n’en ferai pas une coutume ».
* Nerval, Sylvie, VIII, « Je suis entré au bal de Loisy… des halliers d’épines fleuries ».
Quelques billets proposés en 2002